Samstag, 15.10.2011 beschäftigen sich die Hörbilder auf Ö1 (9:05-10:00) mit der Arena-Besetzung:
"Der kurze Sommer der Anarchie". 35 Jahre Arena-Besetzung. Von Patrick Spanbauer und Florian Höllerl
Am Ende der Wiener Festwochen 1976 ("Arena '76") probten Studenten, Künstler, politische Aktivisten und Arbeiterjugendliche im Auslandsschlachthof St. Marx den "Kulturaufstand". Das 70.000 Quadratmeter umfassende, dorfähnliche Gelände wurde für 12 Wochen besetzt.
Der Hunger nach einem autonomen Kultur- und Kommunikationszentrum war groß, denn das Wien der 1970er Jahre bot neben der "staatlichen Repräsentationskultur" den jungen Menschen kaum alternative Freiräume. Das Areal des Auslandsschlachthofs St. Marx war von der Stadt Wien zu diesem Zeitpunkt schon der Firma Schöps zugesichert worden. Das denkmalwürdige Bauwerk aus den 1920er Jahren sollte abgerissen werden und einem modernen Textilzentrum weichen. Die Besetzer ließen sich davon jedoch nicht beirren, übten sich in Basisdemokratie und begannen, das Gelände autonom zu verwalten und zu bespielen. Zahlreiche Initiativen bildeten sich, wie z. B. ein Frauenhaus, Rockerhaus, Film- und Theatergruppen und vieles mehr.
Insgesamt 20.000 Menschen besuchten die Veranstaltungen der Arena in jenem "kurzen Wiener Sommer der Anarchie". Heimische Künstler traten unentgeltlich auf, wie z. B. Wolfgang Ambros und Georg Danzer, aber auch internationale Größen wie Bill Dixon und Leonard Cohen kamen für einen Gastauftritt und zeigten sich mit der Idee solidarisch.
Die Polizei hielt sich im Hintergrund, Verhandlungen der Besetzer mit der Stadtregierung scheiterten - die Gemeinde Wien blieb hart und nach drei Monaten wurde das gesamte Areal geschleift.
Auch wenn der Kampf um die Arena in St. Marx letztlich aussichtslos war, so war er zumindest nicht sinnlos. Das Ereignis hatte die Stadt aufgerüttelt. Von nun an war nichts mehr wie zuvor - die Besetzung bündelte die progressiven Kräfte der Stadt - neue Veranstaltungsorte entstanden, eine junge Beislszene und zahllose Initiativen fanden hier ihren Anfang. 35 Jahre später kommen die Proponenten von damals zu Wort - unter anderem auch eine Schlüsselfigur der Arenabesetzung, der jüngst verstorbene Dieter Schrage.
Kulturgeschichtetag 2012 in Innsbruck
Wurden die ersten zwei Kulturgeschichtetage (2007 und 2009) in Linz abgehalten, findet der dritte Kulturgeschichtetag von 7. bis 9. Juni 2012 in Innsbruck statt. Auf der Homepage findet sich der Call for Papers.
Aus dem Call for Papers:
Projekt Der Kulturgeschichtetag ist eine Plattform zur Diskussion von laufenden kulturhistorischen Projekten, zur gemeinsamen theoretisch-methodischen Reflexion und zur Entwicklung von grenzüberschreitenden Visionen innerhalb des pluralistischen Begegnungsraums der Kulturgeschichte. Im Jahr 2012 wird der Kulturgeschichtetag zum dritten Mal stattfinden – in einem neuen Format, das die praxisbezogene Theorie- und Methodendebatte noch stärker in den Mittelpunkt stellt, und zudem an einem neuen Ort, in Innsbruck. Die Innsbrucker Forschungsplattform Politik Religion Kunst und der Forschungsschwerpunkt Alpiner Raum werden für unsere Veranstaltung wichtige Anregungen bieten, die jedoch keinem Rahmenthema verpflichtet ist.
Quelle: http://ehenvorgericht.wordpress.com/2011/10/10/kulturgeschichtetag-2012-in-innsbruck/
Wer sind die "Muslim Girls"?
Die Klischees über muslimische Frauen sind bekannt: Sie werden gezwungen das Kopftuch zu tragen, werden gegen ihren Willen verheiratet und sind insgesamt willenlos.
Quelle: http://lernen-aus-der-geschichte.de/Online-Lernen/content/9896
Ausbilder für islamische Religionslehrer
Professor Mouhanad Khorchide bildet an der Universität Münster islamische Religionslehrer aus.
Quelle: http://lernen-aus-der-geschichte.de/Online-Lernen/content/9895
KriLit ’11
Auch dieses Jahr finden in Wien wieder die Kritischen Literaturtage statt, und zwar am 4./5. November 2011!
Totentanzkongress in Graz
Und wieder einmal (vgl.) zieht die Totentanzkarawane in die Steiermark, diesmal nach Graz, wo kommenden April die 18. Jahrestagung der Europäischen Totentanz-Vereinigung stattfindet. [via H-SOZ-U-KULT]
Ulrich Raulff über die Aufgaben eines Literaturarchivs
Interessantes Interview in der FAZ mit Ulrich Raulff über die Aufgaben eines Literaturarchivs. Zu lesen hier http://www.faz.net/aktuell/feuilleton/im-gespraech-ulrich-raulff-welche-zukunft-hat-das-literaturarchiv-herr-raulff-11486005.html
Quelle: http://arcana.twoday.net/stories/ulrich-raulff-ueber-die-aufgaben-eines-literaturarchivs/
Ulrich Raulff über die Aufgaben eines Literaturarchivs
Interessantes Interview in der FAZ mit Ulrich Raulff über die Aufgaben eines Literaturarchivs. Zu lesen hier http://www.faz.net/aktuell/feuilleton/im-gespraech-ulrich-raulff-welche-zukunft-hat-das-literaturarchiv-herr-raulff-11486005.html
Quelle: http://arcana.twoday.net/stories/ulrich-raulff-ueber-die-aufgaben-eines-literaturarchivs/
Perchtoldsdorf 2504
Histoire de l’identification
Zwei französische Publikationen zur Geschichte der Identifizierung sind mir noch untergekommen:
Denis, Vincent/About, Ilsen: Histoire de l'identification des personnes. Paris: La Découverte, 2010. [Verlags-Info]
Distinguer les individus les uns des autres, reconnaître l'identité d'une personne, prouver son identité : ces opérations qui semblent aujourd'hui banales sont l'aboutissement de processus historiques complexes. Selon les époques, le développement de formes spécifiques d'identification des personnes a joué un rôle majeur dans l'exercice de tout pouvoir et dans l'organisation et la régulation des sociétés. L'histoire de l'identification éclaire ainsi d'une lumière nouvelle la genèse de la modernité démocratique.
Cet ouvrage souhaite montrer les transformations continuelles, du Moyen Âge à nos jours, des manières d'identifier, l'évolution des conceptions, des pratiques et des acteurs qui les constituent ainsi que les débats qu'elles suscitent. Première synthèse sur un domaine de recherche en plein essor, il expose l'actualité des études sur ce sujet et présente les méthodes d'une histoire de l'identification, au carrefour de plusieurs disciplines.
Noiriel, Gérard (Hg.): L'identification. Genèse d'un travail d'Etat. Paris: Belin, 2007. [Verlags-Info]
Identifier une personne, cest la reconnaître comme un individu unique, un être autonome, avec lequel il est possible dentrer en relation. Lidentification apparaît ainsi comme lune des modalités fondamentales du lien social, car les individus ne peuvent nouer des rapports entre eux que sils se distinguent les uns des autres (y compris dans la cellule de base que constitue la famille). Depuis quelques dannées le nombre détudes consacrées à la question de lidentification des personnes a connu une progression exponentielle, à tel point quil nest pas exagéré de dire que ce thème est devenu aujourdhui un objet autonome de la recherche en histoire et en sciences sociales. Les textes rassemblés ici donnent un bon aperçu du dynamisme de ce nouveau chantier. Le problème nest plus, désormais, de sinterroger sans fin sur la définition de « lidentité » dans les différentes « cultures », mais détudier les pratiques concrètes et les techniques didentification « à distance », en les envisageant comme des relations de pouvoir mettant en contact les individus qui ont les moyens de définir lidentité des autres et ceux qui sont les objets de leurs entreprises. Les chercheurs nont pas attendu la fin du xxe siècle pour sintéresser à cette question, mais lune des originalités de ce livre tient à la perspective de très longue durée qui a été adoptée. Elle tranche sur des approches qui, jusquici, étaient restées focalisées sur lépoque contemporaine.
Denis, Vincent/About, Ilsen: Histoire de l'identification des personnes. Paris: La Découverte, 2010. [Verlags-Info]
Distinguer les individus les uns des autres, reconnaître l'identité d'une personne, prouver son identité : ces opérations qui semblent aujourd'hui banales sont l'aboutissement de processus historiques complexes. Selon les époques, le développement de formes spécifiques d'identification des personnes a joué un rôle majeur dans l'exercice de tout pouvoir et dans l'organisation et la régulation des sociétés. L'histoire de l'identification éclaire ainsi d'une lumière nouvelle la genèse de la modernité démocratique.
Cet ouvrage souhaite montrer les transformations continuelles, du Moyen Âge à nos jours, des manières d'identifier, l'évolution des conceptions, des pratiques et des acteurs qui les constituent ainsi que les débats qu'elles suscitent. Première synthèse sur un domaine de recherche en plein essor, il expose l'actualité des études sur ce sujet et présente les méthodes d'une histoire de l'identification, au carrefour de plusieurs disciplines.
Noiriel, Gérard (Hg.): L'identification. Genèse d'un travail d'Etat. Paris: Belin, 2007. [Verlags-Info]
Identifier une personne, cest la reconnaître comme un individu unique, un être autonome, avec lequel il est possible dentrer en relation. Lidentification apparaît ainsi comme lune des modalités fondamentales du lien social, car les individus ne peuvent nouer des rapports entre eux que sils se distinguent les uns des autres (y compris dans la cellule de base que constitue la famille). Depuis quelques dannées le nombre détudes consacrées à la question de lidentification des personnes a connu une progression exponentielle, à tel point quil nest pas exagéré de dire que ce thème est devenu aujourdhui un objet autonome de la recherche en histoire et en sciences sociales. Les textes rassemblés ici donnent un bon aperçu du dynamisme de ce nouveau chantier. Le problème nest plus, désormais, de sinterroger sans fin sur la définition de « lidentité » dans les différentes « cultures », mais détudier les pratiques concrètes et les techniques didentification « à distance », en les envisageant comme des relations de pouvoir mettant en contact les individus qui ont les moyens de définir lidentité des autres et ceux qui sont les objets de leurs entreprises. Les chercheurs nont pas attendu la fin du xxe siècle pour sintéresser à cette question, mais lune des originalités de ce livre tient à la perspective de très longue durée qui a été adoptée. Elle tranche sur des approches qui, jusquici, étaient restées focalisées sur lépoque contemporaine.