Ja, ich rezensiere gerne. Aber offenbar gehöre ich damit zunehmend einer Minderheit an. Gelesen werde ich auch immer weniger (oder wurden meine Besprechungen je gelesen?). Und überhaupt sind die klassischen Gestaltungsformen einer Besprechung (auf Papier oder im Internet) bald überholt. Das sind nur einige der Punkte, mit denen Gudrun Gersmann auf der Konferenz “Rezensieren – Kommentieren – Bloggen. Wie kommunizieren Geisteswissenschaftler in der digitalen Zukunft” (München, 31.1.-01.2.2013) das sich abzeichnende Ende der traditionellen Rezension beschrieben hat. Gersmann nennt eine Reihe kürzerer, digitaler, interaktiver – kurzum neuer Rezensions- und Kommunikationsformate, die den wissenschaftlichen Inhalten wieder zu mehr Geltung verhelfen sollen. Die Krise der wissenschaftlichen Rezension ist eine Tatsache. Das liegt auch an mitunter überholten Formaten und Kommunikationskanälen. Ich möchte im Folgenden aber einen anderen Akzent setzen: besonders die Form ist in der Krise. Wer langweilig, ausufernd, überkompliziert und nicht unterhaltsam und mutig schreibt, wird nicht gelesen. Wer nicht kritisiert und lobt, wer nicht klar Position bezieht und Ideen weitertreibt, wer nur paraphrasiert, wird nicht gelesen. Das heißt: wir müssen besser und anders schreiben. Dann ist es zweitrangig, wo wir schreiben. Mehr Form-, weniger Formatdiskussion! Orte der Rezensionskrise Die Krise der Buchbesprechung gibt es nicht nur in der Wissenschaft, sondern auch in [...]
„amener la Révolution dans le langage par des moyens insensibles et doux“

C. G. H. Geißler, Der König von Westphalen mustert seine Garden auf dem Roßplatz, Radierung, 1809, aus:
Kriegsszenen bei und in Leipzig im Juni und Juli 1809, Bl. 9, Leipzig 1810, Stadtgeschichtliches Museum Leipzig, Gei IV 22, CC BY-NC-ND 2.0 DE
GStA PK, Berlin, V. HA, Nr. 571, Das Dekret des Königs Jérôme über den Gebrauch der deutschen und französischen Sprache bei den öffentlichen Verhandlungen, März 1808
Quelle:
1 – „Rapport au Roi
Sire
J’ai l’honneur de soumettre à Votre Majesté la proposition de déterminer dans quelle langue seront écrits les actes de son Gouvernement. La langue allemande est la langue naturelle et par conséquence la plus commune des peuples soumis à Votre obéissance. Cependant quatre à cinq dialectes différens et tous fort irréguliers sont répandus dans les diverses parties de Vos Etats, sans qu’on puisse justement déterminer, quel est celui de ces dialectes qui a le plus de faveur et qui en mérite d’avantage.
Le doute est tel à cet égard, que les hommes les plus instruits dans vos conseils reçoivent et se renvoyent réciproquement le reproche de ne pas savoir l’allemand, et qu’on ne peut obtenir une traduction du Bulletin des Loix qui réunisse deux suffrages. Toute fois la langue française est familière dans les états de Brunswick, et n’est pas entièrement étrangère dans la principauté de Hesse et dans les pays démembrés de la Monarchie prussienne. Frédéric 2. avait en effet adopté la langue française pour plusieurs actes [1 verso] actes de son Gouvernement et il y avait eu dans son choix autant de politique que de prédilection. Ce Systême a changé sous son successeur; mais il a duré assez longtems en Prusse, pour que l’usage de la langue française s’y soit conservé. Si J’examinais la question sous le rapport grammatical, je rappellerais à Votre Majesté, que la langue française est la langue des loix et des affaires, parce que son régime sévère et dégagé d’inversions, la rend éminemment claire. Mais Votre Majesté n’a point à choisir entre une langue ou une autre, mais à adopter celle qui lui est indiquée par la politique.
Votre Majesté m’a répété, que le principal objet, qu’elle se proposait, était, de fondre sous une Loi, et un gouvernement unique des peuples soumis à des Loix et à des Gouvernemens divers, et de faire qu’il n’y eût dans son royaume de Westphalie, ni hessois, ni Brunswikois, ni Prussiens, mais des Westphaliens. Le second intérêt de Votre Majesté est de distraire insensiblement ces peuples du souvenir de la Constitution germanique, de ses formes, et de ses usages, et de les rapprocher de la fédération du Rhin par leurs habitudes, comme ils y seront unis par la Politique.
L’adoption de la langue française pour les actes du Gouvernement me semble [2] un moyen puissant de seconder ces deux intérêts. L’Expérience de tous les tems a prouvé, qu’un langage commun est entre les peuples le plus fort des liens; et aujourd’hui même, cette communauté de langage resserrera deux nations, dont les intérêts deviennent chaque jour plus opposés; L’Angleterre et les Etats unis.
Daignez remarquer, Sire, qu’en adoptant dès à présent la langue française pour les actes de son Gouvernement, Votre Majesté n’aura fait qu’avancer de quelques années à l’avantage de ses peuples, une sorte de révolution, que la situation de Westphalie rend indispensable.
Le rêgne de Fréderic, l’Emigration, la guerre, le long séjour des légions, il m’est permis d’ajouter le mérite de la langue française et les chefs d’œuvre en tout genre écrits dans cette langue, l’ont répandue dans le Nord de l’Allemagne. Il y a 20 ans que l’Académie de Berlin couronna un ouvrage où l’on annonçait que cette langue deviendrait celle de l’Europe.
La Confédération du Rhin hâtera l’accomplissement de cette prédiction. La langue française sera parlée dans les diètes, et conséquemment cette langue deviendra celle du nouveau droit public d’Allemagne, ainsi que la langue latine l’était de l’ancien. Mais comme le français aura sur le latin le grand avantage d’être une langue vivante et celle d’un peuple voisin, et du peuple dominant en Europe, il ne se peut pas que la langue admise par le droit public, ne descende au droit [2 verso] droit civile, et ne refonde insensiblement la langue allemande parmi ces dialectes populaires qu’on retrouve par toute l’Europe et même en France.
Ces considérations générales, sire, auraient suffis pour me déterminer à proposer à Votre Majesté, d’arrêter que les actes de son gouvernement seront écrits en français. Mais d’autres considérations particulières s’unissent à celles que je viens de développer.
Des Conseillers d’Etat chargés de la Direction de quelques branches d’administration croyent convenable d’y introduire la lange [sic!] allemande ou de l’y maintenir; et plus d’une fois on m’a exprimé le regret de ce que la langue française était employée dans les bureaux des Ministres.
Je crois, Sire, que ces regrets ne sont pas réfléchis et qu’il y aurait de graves inconvéniens à introduire la langue allemande dans les bureaux ministériels, et à la Trésorerie. Le 1er et le plus sensible de tous consisterait en ce que Votre Majesté ne pourrait pas vérifier par Elle même les actes de son Gouvernement. Ensuite Elle se trouverait insensiblement engagée à n’avoir pour Ministres que des personnes familières avec la langue allemande, ce qui est la même chose que des allemands, et Elle éleverait ainsi entre son Gouvernement & le Systême français une barrière difficile à franchir.
[3] Les partisans de la langue allemande conviennent, que les Départements de la guerre et des affaires étrangères peuvent se servir de la langue française, mais que dans ceux de l’Intérieur, de la Justice et des Finances la langue allemande est indispensable. Cependant il me semble, que, puisque la langue française est seule admise dans vos conseils, elle doit être seule employée par Vos ministres et que s’il y avait entr’eux une différence aussi prononcée que celle qu’on propose, les Ministres qui parleraient allemand, paraîtraient les seuls nationaux et qu’ils auraient trop d’avantage sur les deux autres. Ceux-ci, par cela même qu’ils employeraient la langue française sembleraient étrangers, et seraient chargés de toute la défaveur attaché à cette circonstance.
Cependant, Sire, Je ne me suis pas dissimulé, avec quelles précautions doit être traité un peuple sur lequel on établit une domination nouvelle. Le grand sécret consiste à lui faire perdre ses habitudes, sans paraître les contrarier, et il n’y a pas d’habitude, à laquelle le peuple soit plus justement attaché, qu’à son langage naturel. Je ne propose donc point à Votre Majesté, d’établir par une Loi la Mesure que j’indique, mais par un simple règlement d’administration. Ensuite j’insiste pour qu’on prenne toutes les précautions capables d’en adoucir l’effet par exemple: celles de publier dans les deux langues les Loix et les actes du gouvernement, de laisser l’usage de la langue allemande devant l’assemblée [3 R] l’assemblée des Etats, dans les Tribunaux et les actes pardevant notaire, enfin d’amener la Révolution dans le langage par des moyens insensibles et doux, qui ne contrarient que fort peu vos sujets, et surtout, qui ne les irritent jamais.
Je suis avec un profond respect, Sire
De Votre Majesté.
Le très humble, très obeissant et très devoué Serviteur.
Cassel, ce 19 mars 1808“.
Provenienz:
Bestand des Geheimen Staatsarchivs Preußischer Kulturbesitz
frühere Signatur: GStA PK, V. HA., Rep. I., C., II., Nr. 9
Hauptabteilung V Königreich Westfalen
Rep. I. Akten des Staatssekretariats und des Ministeriums des Aeußern zu Cassel
C. Andere Akten
II. Innere Verhältnisse, Staatsrat etc.
Inhalt: 4 Blätter/2 Dokumente
1. Einsicht: Mai 2001 (CP)
Zur Quelle:
Dieser Bericht an den König Jérôme Bonaparte, Regent im Königreich Westfalen, ging der Entscheidung (im gleichen Aktentitel übermittelt) des Königs über den Gebrauch der deutschen und französischen Sprache bei den öffentlichen Verhandlungen im neuen napoleonischen Staat auf deutschen Territorien. Der Autor des Berichts hat ihn nicht namentlich unterschrieben. Dieser rapport au roi stammt von einem Mitglied des Staatrsrats. Er enthält eine kurze Bestandsaufnahme der verschiedenen im Königreich Westfalen vorhandenen Sprachgemeinschaften udn wägt Vor- und Nachteile des Gebrauches der deutschen und französischen Sprache in der Verwaltung ab.
Der Verfasser stellt zunächst fest, dass die deutsche Sprache in den Trritorien, die das Königreich Westphalen bilden, sehr uneinheitlich war und dass mindestens fünf Dialekte existierten. Die französische Sprache war ihrerseits im Braunschweigischen, im Hessischen und in den preußischen Territorien seit längerem präsent.
Der Autor zählt zunächst Argumente auf, die für die französische Sprache sprechen: Französisch könne identitätsstiftend für die neuen westphälischen Staatsbürger werden, damit sie ihre deutschen regionalen Zugehörigkeit ablegen können. Der Vorteil einer Einheitssprache zur Förderung eines einheitlichen Geistes unter den westphälischen Staatsbürgern sei demnach nicht zu unterschätzen. Die Sprache sei ein Hebel, um die deutschsprachige Bevölkerung peu à peu von den herkömlichen deutschen Gesetzen abzubringen. Der Autor geht so weit, dass er sich durch die sofortige und konsequente Durchsetzung der französischen Sprache in der Verwaltung eine vorteilhafte Revolution verspricht.
Für die französische Sprache im Staatsrat und in den Ministerien spreche, dass nur so der König den Verhandlungen folgen könne. Im entgegengesetzten Fall der Verwendung der deutschen Sprache im Staatsrat und in den Ministeiren würden Deutschsprachige den Vorzug haben und König Jérôme würde zwischen seiner Regierung und dem französischen System eine schwer überwindbare Barriere aufstellen. In diesem Zusammenhang scheut sich der Autor nicht, von unüberwindlichen Sprachbarrieren als Schrekcensvorstellung für das Staatsoberhaupt zu sprechen. Allerdings bezieht sich diese Angst vor sprachlichen Verständigungsproblemen auf das Verhältnis des Königreichs Westphalen zum Kaiserreich Franrekcih, dem der Staat Westfalen seine Gründung politisch verdankte.
Der Autor des Berichts geht ebenfalls auf die Einwände der Befürworter der deutschen Sprache ein. Einige Staatsräte sähen gern die deutsche Sprache in einigen Zweigen der Verwaltung, wogegen der Autor des Berichts große Vorbehalte äußert. Die Befürworter der deutschen Sprache räumten ein, dass das Kriegsministeriums und das Außenministerium sich weiterhin der französischen Sprache bedienen sollten, während sie für die Ressorts des Inneren, der Justiz und der Finanzen die Notwendigkeit der deutschen Sprache betonten. Der Autor rät davon ab, die deutschen Mitglieder des Staatsrats das Sprechen auf Deutsch in diesem zu erlauben, damit sie nicht als die „wahren” nationalen Westphalen im Empfinden der französischen Mitglieder hervorgehen. Der Autor zeigt, dass er durchaus von der Sorge motiviert ist, eine nationale Einheit zu schaffen, und dass er die Sprachenfrage als entscheidenden Motor dafür ansieht.
Im Wesentlichen sollte nach Empfehlung des Berichts die Verwendung der französischen Sprache in der oberen Verwaltung überwiegen. Für die Art und Weise, wie die französische Sprache allmählich die deutsche dominieren sollte, gibt der Autor allerdings recht vorsichtige Anweisungen. Er empfiehlt keine Maßnahme im Bezug auf die Regelung des Sprachgebrauchs in der Verwaltung öffentlich zu treffen, um jegliche Empörung darüber zu vermeiden. Der Berichterstatter schlägt vor, kein Gesetz über die Sprachenfrage zu verabschieden, sondern lediglich ein einfaches Reglement herauszugeben. Als mildernde Maßnahmen rät er, Gesetze und Dekrete stets in beiden Sprachen zu veröffentlichen, der Ständeversammlung – das Königreich Westphalen war die erste konstitutionelle Monarchie auf deutschen Territorien – in der deutschen Sprache debattieren zu lassen, und die deutsche Sprache ebenfalls in den Tribunälen und bei den Notaren zu belassen, um die Westfalen mit der Sprachregelung in der Verwaltung nicht zu verärgern. Dem Berichtserstatter nach solle der König Jérôme die deutsche Sprache pragmatisch zulassen.
Weitere Themen in dieser Quelle:
- nationale Einheitsprache konstitutiv eines Nationalstaats
- Übersetzungsschwierigkeiten in der Regierungspraxis
- Französisch als lingua franca und in der deutschen Aufklärungsgesellschaft
Weiterführend:
Über die Berliner Preisfrage der Akademie der Wissenschaft von 1784, vgl.: Bernd Spillner, „Der gefällige Souffleur“. Franzsösiche Sprache unf ranzsösicher Sprachunterricht im Rheinland, in: Ders. (Hg.), Franzsösiche Sprache in Deutschalnd im Zeitalter der Französischen Revolution, Frankfurt a. M., Berlin 1997, S. 71–106, hier S. 74.
Zitiert/verwendet, in:
Claudie Paye, „Der französischen Sprache mächtig“. Kommunikation im Spannungsfeld von Sprachen und Kulturen im Königreich Westphalen, 1807–1813, München (Oldenbourg) 2013 (Pariser Historische Studien, 100), S. 62–65, 378, 456.
Quelle: http://naps.hypotheses.org/97
Wie finde ich Themen für mein Wissenschaftsblog?
Ein Blog zu eröffnen, bedeutet die Initiierung eines kontinuierlichen Schreibprozesses. Fragen, wie “Schaffe ich es, regelmäßig ein Thema zu finden?” sind durchaus verständlich. Als ersten Schritt für eine gewisse Regelmäßigkeit habe ich mir vorgenommen 1x wöchentlich einen Blogpost zu veröffentlichen. Für das Bloggen wird das allgemein als unteres Limit angesehen. Bisher ist mir das meistens gelungen. Ob das in der Zukunft so bleiben wird, weiß ich nicht, denn die Einarbeitung ins Thema ist soweit abgeschlossen und ich fange jetzt mit der “richtigen” Arbeit an der Dissertation an. Deshalb hier die Frage, was Blogger, die über mehr Erfahrung verfügen, dazu sagen können?
In der Anfangszeit ist es nicht immer leicht, ein Thema zu finden und in dieser Phase ist wichtig, nicht aufzugeben, sondern mit gewisser Hartnäckigkeit nach Themen zu bohren. Hilfreich können in dieser Phase Kreativtechniken sein, wie die ABC-Liste oder eine Mind-Map. Nur über das Tun kommt man auf Ideen. Darüber lassen sich Erfahrungen sammeln, die in zukünftige Handlungen einfließen können. Denn wir handeln aufgrund unserer Erfahrungen, nicht aufgrund unseres Wissens.
Ist diese Anfangszeit überstanden, erhält man leichteren Zugang zu Themen, weil die eigene Wahrnehmung darauf ausgerichtet ist. Mit der selbstgesetzten Deadline für die Veröffentlichung eines Posts hat man sein Blog quasi “im Gepäck” immer dabei. Der Termin mag manchmal etwas drücken, aber das ist gut so. Dieser leichte Druck ist nötig, sich ein wenig anzustrengen und nach einem Thema zu suchen. Mit zunehmender Erfahrung ist dieser Druck bei mir gewichen und die Themen “begegnen” mir inzwischen. Sicherlich auch, weil ich durch das Blog bewusst wahrnehme, was ich sehe, lese und erlebe.
Für die Erarbeitung von Themen können folgende Punkte hilfreich sein:
- Worüber schreiben andere Blogger?
Schauen, was andere machen. Was schreiben sie? Stellen Sie sich Fragen wie: “Was spricht mich daran an?” oder ” Wie könnte ich das für mich umsetzen?” - Wissen, dass man für seine eigene Arbeit erwerben muss, kann in einem Blogpost verwertet werden.
Es muss nicht die perfekte Rezension nach der Lektüre einer Fachliteratur sein. Meist sind aber interessante Gedanken enthalten, die man aufgreifen und darüber schreiben kann. Auf einem Post dürfen Sie das mit Ihrem Thema, Ihrer eigenen Erfahrung und/oder eigenem Erleben verbinden. Das führt zu einer neuen Art der Reflektion Ihres Themas. - Berichte über laufende Entwicklungen Ihres fachlichen Bereichs, aktuelle Forschungsstände, Veranstaltungsberichte, je nach thematischer Ausrichtung Ihres Blogs können es auch Tipps oder Problemlösungen sein. Ideal ist es, die eigene Motivation für ein Blog mit Lesernutzen zu verbinden. Gelingt z.B. das Zusammenfassen von Fachliteratur, Studien etc., so dass der Leser die Information ohne große Mühe aufnehmen kann, werden Ihre Artikel eine Leserschaft finden.
- Twitter ist eine gute Nachrichtenquelle. Hier erhalten Sie ebenfalls zahlreiche Anregungen für Themen. Der Leitfaden von Mareike König ist nicht nur für Historiker sehr hilfreich.
Das dürften aber längst nicht alle Anregungen für Themen sein. Ich bin gespannt auf Ihre Gedanken.
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Abbildung: Farbkombinationen suchen by zutaten, CC BY-NC-ND 2.0
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Artikelreihe: Wissenschaftliches Bloggen in der Praxis
- Gedanklicher Warm-Up: Aller Anfang ist schwer – auch beim Bloggen
- Warum sollte ich als Wissenschaftler/in bloggen?
- Mein erster wissenschaftlicher Blogartikel – was schreibe ich bloß?
- Wie finde ich Themen für mein Wissenschaftsblog?
- Texte für das Wissenschaftsblog schreiben, wie?
Forschungsbedingungen und Digital Humanities: Welche Perspektiven hat der Nachwuchs?
Vom 10.–11. Juni 2013 organisieren das Deutsche Historische Institut Paris und L.I.S.A. – das Wissenschaftsportal der Gerda Henkel Stiftung unter Mitarbeit des Centre pour l’édition électronique ouvert eine Tagung am DHI Paris zum Thema „Forschungsbedingungen und Digital Humanities: Welche Perspektiven hat der Nachwuchs?“
Im Zentrum der Tagung steht die Frage, welche Auswirkungen die digitalen Veränderungen auf die Forschungsbedingungen haben und welche Konsequenzen sich daraus für die Nachwuchsforscher ergeben. Welche neuen Kompetenzen gilt es zu erwerben? Welchen Platz haben sie in der Ausbildung? Wie können wissenschaftliche Leistungen im Bereich des Aufbaus von Forschungsinfrastrukturen, Datenbanken, Online-Publikationen aber auch in den sozialen Medien Anerkennung finden? Wie wird evaluiert, und wie wird Qualität gesichert?
In den Räumen des Deutschen Historischen Instituts Paris, 8 rue du Parc-Royal, 75003 Paris planen die Teilnehmerinnen und Teilnehmer dabei keine bloße Bestandsaufnahme, sondern die Herausarbeitung von Perspektiven und gezielten Maßnahmen im Umgang mit den digitalen Herausforderungen.
Um der Sicht der Nachwuchswissenschaftler gebührend Rechnung zu tragen, wurde am 18. April 2013 ein Call for Papers auf dem Blog Digital Humanities am DHIP veröffentlicht. Alle eingehenden Beiträge werden dort gesammelt und sind frei zugänglich.
Für die Tagung werden die eingereichten Beiträge von einer Gruppe junger deutsch-französischer Wissenschaftler – Aurélien Berra, André Donk, Marten Düring, Sascha Foerster, Sebastian Gießmann, Franziska Heimburger, Lilian Landes, Anika Meier, Michael Schmalenstroer, Bertram Triebel – aufbereitet und zu Beginn der jeweils vier vorgesehenen Panels zusammengefasst. Internationale Experten nehmen im Anschluss dazu Stellung.
Panel I: Wie verändert sich derzeit unsere Forschungs- und Wissenschaftskultur?
Dominique Bouiller, Centre d’études européennes de Sciences Po
Arianna Ciula, Wissenschaftlerin
Panel II: Universitäre Ausbildung: Welche neuen Kompetenzen sind erforderlich?
Malte Rehbein, Universität Passau
Jean-Michel Salaün, Collegium de Lyon
Panel III: Evaluierung und Qualitätssicherung in den Digital Humanities
Milena Žic-Fuchs, European Science Foundation Denise Pumain, P.A.R.I.S
Panel IV: Karriere, Finanzierung und akademische Anerkennung der Leistungen in den Digital Humanities
Claudine Moulin, Universität Trier
Pascal Arnaud, Agence nationale de la recherche
Die Tagung wird am 10. Juni 2013, um 18 Uhr, mit einem Vortrag von Christian Jacob eröffnet. Christian Jacob ist Professor an der École des hautes études en sciences sociales, an der er unter anderem für den Masterstudiengang „Histoire des sciences, des savoirs et des techniques“ verantwortlich ist. Er ist Autor des Blogs „Lieux de savoir“.
Tagungssprachen sind Englisch und Französisch; die Tagung wird durchgängig in Englisch und Französisch simultanübersetzt.
Gerne nimmt das Deutsche Historische Institut Paris Ihre Teilnahme- bzw. Interviewwünsche entgegen. Kontakt:
Dunja Houelleu
E-Mail: dhouelleu@dhi-paris.fr
Tel: +33 1 44 54 24 16
Das DHI Paris gehört zur Max Weber Stiftung – Deutsche Geisteswissenschaftliche Institute im Ausland und ist eine Schnittstelle zwischen deutscher und französischer Geschichtswissenschaft. Zu seinen Aufgaben gehört die Durchführung und Veröffentlichung von Forschungen zur französischen, deutsch-französischen und westeuropäischen Geschichte.
Das Institut verfügt über eine mit ca. 110 000 Medieneinheiten ausgestattete Spezialbibliothek und veranstaltet Vorträge, Seminare und Tagungen. Das DHI Paris gibt die Fachzeitschrift Francia sowie mehrere Buchreihen heraus. Ein Schwerpunkt seiner Arbeit liegt im Bereich des elektronischen Publizierens in Form von e-Journals, auf Publikationsplattformen und durch andere Online-Projekte. Von großer Bedeutung für die Vernetzung von deutscher und französischer Wissenschaft ist auch die Nachwuchs- und Forschungsförderung des Instituts durch verschiedene Fellow- und Förderprogramme.
Mit dem interaktiven und multimedialen Wissenschaftsportal L.I.S.A. bietet die Gerda Henkel Stiftung ein Fachangebot für Geisteswissenschaftlerinnen und Geisteswissenschaftler sowie ein Kommunikationsnetzwerk für ihre Stipendiaten und Förderpartner an. Das Akronym L.I.S.A. nimmt die zentralen Möglichkeiten des Portals auf: Lesen, Informieren, Schreiben und Austauschen. Nicht zuletzt erinnert L.I.S.A. an die Gründerin der Gerda Henkel Stiftung, Frau Lisa Maskell. Ziel der Initiative ist es, sachrelevante Beiträge aus allen Bereichen der Geschichtswissenschaften sowie aus Archäologie und Kunstgeschichte zur Verfügung zu stellen und damit dem Bedarf an fächerübergreifenden Informationen in den Historischen Geisteswissenschaften Rechnung zu tragen.
Quelle: http://gab.hypotheses.org/750
APEx – Building infrastructures for archives in a digital world
Vom 26. bis 28. Juni 2013 findet in Dublin die erste Konferenz des APEx-Projekts zum Thema ”Building infrastructures for archives in a digital world” statt. Im Mittelpunkt der Tagung stehen Erfahrungen und aktuelle wie voraussichtlich zukünftige Herausforderungen, die Archive mit den Möglichkeiten der digitalen Präsentation und Vernetzung verbinden.
Das Tagungsprogramm und die Abstracts zu den einzelnen Vorträgen stehen auf der internationalen APEx-Projektwebseite zur Ansicht und zum Download zur Verfügung.
Die Anmeldung zur Konferenz kann bis zum 31. Mai 2013 auf der Seite: http://dublinconferences2013.eu elektronisch vorgenommen werden.
Quelle: http://dhd-blog.org/?p=1754
LMU: Zusätzlicher Sitz für Studierende im Hochschulrat
Auf der Suche nach Grillparzer
Es ist in Wien sehr schwer, Leute zu finden. Man darf dort nicht etwa an jene Viertelabtheilung, an die bequemen Hausnummern, an den stets hilfreichen Adreßkalender, an das ganze zum Nachschlagen so bequeme Büreauwesen Berlins denken; nein, durch eitel Romantik hindurch geht der Weg. Grillparzer, wo bin ich überall hingerathen, um Dich zu finden! erster Hof, zweite Stiege, dritter Stock, vierte Thür! Es wirbeln mir noch die Beschreibungen im Kopfe. Nach einer vormittäglichen Suchjagd stand ich endlich in einer schmalen, öden Gasse vor einem großen schweigsamen Hause; meine Tritte hallten wieder auf der steinernen Treppe, an der gewölbten Decke. Klosterstille und Kühle umgab mich, draußen lag ein heißer Tag, ich dachte an das Schloß des alten Borotin in der Ahnfrau; an die ganze schauerliche Einsamkeit dieses Stückes. Es trat auch so schauerlich einsam in der Literatur auf, nur in den sterbenden Augen trug es etwas von jener poetischen Lebenswärme, die es noch eine Zeitlang vor dem Vergessen schützen wird; sonst war es kalt wie eine Leiche.
Ein eisernes Gitter hemmte meine Schritte, die Thüre war verschlossen, nirgends ein Mensch zu sehen oder zu hören; der alte Borotin liegt im Sterben, dachte ich. Eine schwere, rostige Klingel gab einen schrillen, gespenstigen Ton. Niemand regte sich, noch einmal schellte ich; wieder umsonst.
So stand ich wohl eine Viertelstunde, und hatte Zeit zu überlegen, was Grillparzer.für ein Dichter sei. Vor der Klingel fürchtete ich mich, machte aber doch einen letzten Versuch. Nach einer Weile hörte ich einen langsamen Frauentritt schlürfen, eine Gestalt mit fast ganz verhülltem Kopfe näherte sich die Ahnfrau, wie sie leibt' und lebte, fragte nach meinem Begehre und Namen.
Jaromir von Eschen, heiß ich, und wünschte Herrn Grillparzer zu sprechen.
Er ist nicht zu Hause. Ich mache hier keine Geschichte, sondern es fügte sich wunderlich genug in der That so, wie ich erzähle, die arme Ahnfrau mochte Zahnschmerzen haben.
Kaum hatte ich den Muth, dieser mittelalterlichen Wehgestalt eine moderne Karte anzubieten.
Nun blieb noch der Stern übrig, eine tief in den Winkel gekauerte Wiener Kneipe, wo sich die Poeten des Abends zusammenfinden sollten. Früher geschah dieß in der sogenannten Ludlamshöhle," aber die poetischen Possen und das Bundesartige, was sich dort herausgestellt hat, sind dem Gubernio mißfällig geworden, und man hat die Höhle verschüttet. Freie Künste, Bund und Höhle sind bedenkliche Ingredienzien, und hoher Sinn liegt oft im kind'schen Spiele, man darf den Teufel nicht an die Wand malen tc. kurz, man hat Gründe gehabt, die uns nichts angehen, und ich mußte nach dem Stern" fragen, einem kleinen Filial der untergegangenen Ludlamshöhle.
Nach einigen unerschrockenen Versuchen fanden wir ihn, Gutzkow, und der Starost waren mit auf dieser Expedition.
Laube, Heinrich: Reisenovellen. Band 3, Mannheim: Hoff, 1836, S.135-138. (GBS)
Dank an Andreas Kloners Radiofeature Feuerfest und Donauwalzer. Eine Lange Nacht in Alt-Wien, dem ich diesen Hinweis entnommen habe!
Gegen die McDonaldisierung der Forschung! #dhiha5
Schnell, Schnellll, Schnelllll, Du MUSST veröffentlichen, veröffentlichen und nochmals veröffentlichen!!! Der Run auf die Veröffentlichungen! Natürlich lassen die perversen Folgen nicht lange auf sich warten “[Ich werde] als Maschine missbraucht, die Veröffentlichungen produzieren soll, ohne sich um die persönliche Entwicklung zu kümmern! (Doktorantin, 4. Jahr, Werkstofftechnik), “Verlangt werden hohe Zahlen (an Artikeln), und nicht (unbedingt) Qualität. Es ist üblich, einen guten Artikel in zwei oder drei schlechte aufzuteilen, um eine höhere Artikelanzahl zu erreichen. Zahlenpolitik ist das, und kontraproduktiv.” (Doktorandin, 3. Jahr, Informatik). Genau wie bei Fastfood-Restaurants muss man schnell und in großer Quantität produzieren, auf Kosten der Entfaltung des Forschers und der Qualität seiner Arbeiten. Die Slow-Science Bewegung kämpft für eine Rückkehr zu einer langsameren, aber qualitativeren Wissenschaft, “einfach Zeit nehmen, um zu Forschen”.
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Text und Zeichnung von Tis, aus dem Französischen übersetzt von Anne Baillot und Mareike König. Der Originalbeitrag ist auf dem Blog PHDelirium von Tis veröffentlicht.
Quelle: http://dhdhi.hypotheses.org/1722
Pommersche Gravamina, Teil IV – Kommunikationsprobleme
Ein weiteres Mal zu der Flugschrift, in der die pommersche Gesandtschaft ihre Beschwerden auf dem Regensburger Kurfürstentag schriftlich fixiert hatte. An dieser Stelle möchte ich aus der Masse der vorgetragenen Ausschreitungen, die das Land infolge der Quartiernahme durch Wallensteins Truppen zu ertragen hatte, einen Punkt herausgreifen. Das Gravamen Nr. 43 erwähnt, daß das Oberkommando über die einquartierten Truppen „nun ein geraume Zeit her frembden vnd außländischen Personen“ anvertraut worden sei. Nun sei es aber schwierig, in Pommern jemanden zu finden, der der italienischen Sprache mächtig sei, und so könne man die Beschwerden nicht wirklich vorbringen.
Nicht explizit genannt, aber gemeint war hier Torquato Conti, der als Feldmarschall das Oberkommando innehatte. Er war Italiener, und sicherlich waren auch weitere Offiziere in seinem engeren Umfeld Italiener. Für die kaiserliche Armee war dies nicht ungewöhnlich, wie die Karrieren von Piccolomini, Gallas und Montecuccoli zeigen. Ob Conti nur Italienisch konnte und nicht auch zumindest ein wenig Deutsch verstand, sei an der Stelle einmal dahingestellt. (Natürlich gab es in seiner Feldkanzlei Sekretäre, die den Schriftverkehr auf Deutsch erledigten; am Ende der Flugschrift ist ja ein solches Schreiben von Conti mitabgedruckt.) Das pommersche Gravamen verweist jedoch auf den Umstand, daß der Krieg Angehörige vieler europäischer Nationen ins Reich brachte – und damit die direkte Verständigung nicht nur unter den Militärs, sondern eben auch zwischen fremdsprachigen Militärs und der einheimischen Bevölkerung schwierig wurde.
Tatsächlich gibt es vielfache (Selbst-)Zeugnisse, in denen man sich über die fremdartigen Nationen wunderte. Dies betraf Italiener, Spanier und Franzosen genauso wie Iren, Engländer und Schotten und nicht zuletzt die als sehr fremdartig wahrgenommenen Finnen und Lappländer; hinzu kamen auch „Croaten“ und „Pollacken“, wobei diese Begriffe nicht nur eine Volkszugehörigkeit, sondern vielfach auch die Waffengattung der leichten Reiterei bezeichneten. Dieses Aufeinandertreffen war nicht zwangsläufig von Konflikten geprägt, aber wie die pommersche Flugschrift verdeutlicht, konnte es doch Kommunikationsstörungen geben, die den Umgang miteinander deutlich erschwerten.
Gerade die Situation, in der Vertreter einer Landschaft ihre Suppliken vor einem Kommandeur vortragen wollten und merkten, daß sie mit ihrer geübten Rhetorik einfach aufgrund der Sprachbarriere nicht weiterkamen und die üblichen Mechanismen von Supplik und Gnadenerweis nicht mehr greifen konnten, läßt erkennen, wie hilflos und ausgeliefert man sich womöglich den Militärs gegenüber empfand. Daß diese Hilflosigkeit in der Sprachlosigkeit begründet war, zeigt im Weiteren, wie gefährlich diese Konstellation war: Wenn man gar nicht mehr miteinander reden konnte und die Kommunikation in einem totalen Desaster endete, war der Schritt von der Sprachlosigkeit hin zur Sprache der Gewalt nicht mehr weit. Dies ist der Kern des Problems, der in Gravamen Nr. 43 angesprochen wird.
Quelle: http://dkblog.hypotheses.org/155
Warum Vergangenheitsbewältigung so wichtig ist
Quelle: http://geschichts-blog.blogspot.com/2013/05/warum-vergangenheitsbewaltigung-so.html