Offre contrat doctoral – Violences urbaines

Appel à candidature ‐ Contrat doctoral
Projet « Saisir l’Europe », axe 3 « Violences urbaines »

Le groupe de travail « Violences urbaines » fait partie du réseau franco-allemand de recherche « Saisir l’Europe ». Celui-ci se propose de penser à nouveaux frais la question de l’Europe en engageant une réflexion sur ce qui a fait, fait aujourd’hui et fera demain société en Europe (http://www.saisirleurope.eu/).

Partant des crises économiques et politiques que l’Europe traverse actuellement, le projet s’organise autour d’une interrogation plus générale sur le modèle socioculturel et économique européen considéré dans sa complexité et dans sa profondeur historique. Ce modèle et les difficultés qu’il connaît en ce moment sont abordés par trois équipes de jeunes chercheurs correspondant aux trois axes scientifiques du projet : État social (axe 1), développement durable (axe 2), violences urbaines (axe 3). Ces équipes sont coordonnées par des chercheurs expérimentés et pilotées à chaque fois par deux post-doctorants (français et allemand) dont les travaux constituent un cadre, tout en s’inscrivant dans les questionnements plus globaux du projet.

Le projet s’inscrit dans une démarche de collaboration étroite avec les autres institutions du réseau et les autres équipes de jeunes chercheurs, dans le souci de s’interroger sur les traditions, les interprétations et les transferts franco-allemands et plus largement européens en matière de recherche. Ce travail commun sera organisé autour de la recherche d’une réelle interdisciplinarité entre les différents champs des sciences humaines et sociales et d’une mise en œuvre de méthodes de recherche conjointes dans un contexte décentré et pluriel.

L’axe 3 « Violences urbaines » s’intéresse aux formes individuelles ou collectives de violence, aux actions militantes violentes, au terrorisme tout comme à d’autres formes de violence qui peuvent être observées dans les villes européennes depuis le début de l’urbanisation. Deux types de terrain se dessinent au sein du groupe : (1) Les lieux qui semblent concentrer les phénomènes de violence, qu’il s’agisse d’espaces périurbains ou « rurbains », de villes entières ou de quartiers isolés auxquels est souvent accolé l’étiquette « à problèmes » ou « sensibles ». Les citoyens les évitent, les médias s’en emparent, les chercheurs les dissèquent et les pouvoirs publics y expérimentent leurs mesures. (2) D’autres espaces urbains ne sont que temporairement habités par la violence (réelle, redoutée ou fantasmée), comme c’est le cas de certaines villes ou rues dans le contexte d’événements protestataires ou de certains lieux publics en période de menaces terroristes. Dans l’un et l’autre contexte, on assiste à la constitution d’« espaces de violences urbaines » entendus dans leur construction et acception physiques, sociales et discursives. Le groupe de travail se penche sur les interactions et les chevauchements qui caractérisent ces formes de violence urbaine en Europe, au niveau de leur fabrication par les acteurs sociaux ou à celui des mesures mises en place pour les contenir ou les contrer, en prenant notamment compte de leur dimension spatiale.

Le projet doctoral proposé s’inspirera de ce cadrage théorique (en s’appliquant aux deux terrains nommés ou à d’autres en lien avec la problématique de l’axe), et montrera comment il s’inscrit dans le projet plus global de « Saisir l’Europe ». Il comprendra une définition du sujet proposé, du ou des objets d’étude empiriques, qui doivent nécessairement avoir une dimension « européenne » (ce qui exclut des objets d’étude n’impliquant qu’à un degré très éloigné l’instance communautaire et/ou de portée uniquement locale), un bref état de la recherche, un exposé de la méthodologie envisagée, un calendrier indicatif de travail sur trois ans et une bibliographie.

Le groupe de travail « Violences urbaines » est coordonné par deux post- doctorantes, l’une à l’IRICE (UMR Identités, relations internationales et civilisations de l’Europe, Université Paris-Sorbonne / Université Paris 1 / CNRS), l’autre au Centre Marc Bloch à Berlin. Le projet s’inscrit dans une démarche de collaboration étroite avec les autres institutions du réseau et les deux autres axes (Etat social et développement durable), dans le souci de s’interroger sur les traditions, les interprétations, les transferts franco-allemands en matière de recherche. Ce travail commun sera organisé autour de la recherche d’une réelle interdisciplinarité entre les différents champs des sciences humaines et sociales et de la mise en œuvre de méthodes de recherche conjointes dans un contexte décentré et pluriel.

D’autres contrats doctoraux sont proposés dans les groupes de travail « Développement durable » et « Etat social » de « Saisir l’Europe ». L’ensemble des appels à candidature peut être consulté sur le site www.saisirleurope.eu.

Contrat doctoral

Durée : du 1er novembre 2013 au 31 octobre 2016 (CDD d’un an, renouvelable deux fois)
Rémunération : 1684, 93 € brut mensuel correspondant à la mission de recherche du doctorant plus la mission complémentaire du contrat (enseignement ou valorisation de la recherche, ou conseil / expertise).

Conditions de candidature

  • Diplôme de Master 2 Recherche soutenu entre juin 2011 et septembre 2013 dans le domaine des sciences humaines et sociales (histoire, géographie, sociologie, science politique, ethnographie, etc.)
  • Projet de recherche en cohérence avec le groupe de travail décrit ci-dessus
  • S’inscrire en formation doctorale dans l’un des établissements membres du CIERA (liste :http://www.ciera.fr/ciera/spip.php?article221).

Compétences requises

  • Disposition à participer activement à l’organisation de tâches collectives
  • Maîtrise des outils numériques permettant de participer à la communication interne et externe du groupe de travail
  • Capacité à s’insérer dans des collectifs de recherche interdisciplinaires et internationaux et à développer son propre réseau scientifique
  • Disposition à se déplacer internationalement (conférences, groupes de travail)
  • Maîtrise du français, de l’allemand et de l’anglais (au moins deux langues actives et une passive)

 

 

Dossier à envoyer (en français, allemand ou anglais)

  • Lettre de motivation précisant l’intérêt du candidat pour le projet « Saisir l’Europe », le choix de l’école doctorale et du directeur de thèse envisagé.
  • Curriculum vitae
  • Projet de recherche (5-10 pages)
  • Lettre de recommandation d’un enseignant-chercheur ayant suivi le candidat
  • Copie des diplômes depuis le baccalauréat (avec indication des notes ou des mentions).

L’ensemble de ces pièces doivent être envoyées en un seul document PDF (en cas de difficulté, nous contacter au préalable) à saisirleurope@cmb.hu-berlin.de

Contact

Date limite de candidature : 25 août 2013 par mail. Une audition est prévue mi-septembre à Paris.

Quelle: http://violence.hypotheses.org/408

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China-News: Tee und der Handel mit China (5.9.1767)

Die Rubrik ‘China-News’ sammelt Zufallsfunde und (frühe) Zeitungsartikel zu China und Chinathemen. Diesmal geht es um den Tee (Camellia sinensis) und seine wirtschaftliche Bedeutung. In den “Gelehrten Beiträgen zu dem Wienerischen Diarium, oder Auszüge aus verschiedenne ausländischen Monat- und Wochenschriften” findet sich am 5.9.1767 ein Beitrag  “Vom Thee, und den großen Summen, welche dadurch für Europa verloren gehen”.

ANNO: Wienerisches Diarium 5.9.1767

ANNO: Wienerisches Diarium 5.9.1767

Vor allem ist die Handlung nach China, welcher alle Nationen so nachstreben, in vielem Betracht die allerverderblichste. Für unser schönes Gold und Silber erhalten wir nichts weiter von den Chinesern zurück, als eine Menge der entbehrlichsten Waaren, und unter diesen vornämlich zerbrechlichen Thon, und getrocknete Blätter von einem ihrer Sträuche, Thee nämlich und Porcellain:[1]

Der Verfasser hält offensichtlich sehr wenig vom Tee – und von ‘den Chinesern’, die seiner Darstellung nach nichts anders im Sinn haben, als die Europäer zu übervorteilen:

Sie lassen sich durch keine neuen Moden hinreißen, wie es bey uns zu geschehen pflegt, und sehn alle ausländischen Waaren mit großer Gleichgültigkeit an. Sie trinken gern Caffee und Wein, aber sie kaufen sich keinen, und lassen sich von den Europäern damit traktiren. [...] Überdieß sind sie sehr listig, und mit allen ihren Sachen außerordentlich geheim. Soblad sie merken, daß ein Europäer sich zu genau wornach erkundigt, und etwas nicht in seinem Lande hat, so brechen sie die Unterredung ab, oder suchen ihn mit falschen Nachrichten zu betrügen.[2]

Dann geht es darum, dass der Teestrauch in Europa nicht und nicht gedeihen will – trotz aller Bemühungen, selbst Linné hätte es nicht hingekriegt. Es wäre allerdings den Engländern gelungen, Tee in South Carolina zu kultivieren[3] – was die Lage allerdings kaum verbessert, denn so würde ‘unser Geld’ eben nicht ‘den Chinesern’, sondern ‘den Engländern’ in den Rachen geworfen.

Es gibt allerdings eine Möglichkeit, das zu verhindern:

[...] wenn wir nähmlich unserer Vernunft Gehör gäben, den Thee als ein bloß überflüssiges Getränk ganz abschaften [sic!], oder an dessen Stelle einen Thee aus einheimischen Kräutern oder Blättern machten, und ihn allgemein einzuführen suchten. Die herrn Aerzte und die Vornehmen eines Landes könnten viel hiezu beytragen; die erstern, wenn sie uns den chinesischen Thee zuwider machten; und den einheimischen für besser erklärten; und die zweyten, wenn sie durch den Gebrauch des einheimischen zuerst ein gutes Beyspiel geben wolltne. [...][4]

Stimmen wie diese – mit Vorschlägen für Pflanzen, die den teuren chinesischen Tee ersetzen sollen – finden sich seit dem späten siebzehnten Jahrhundert häufiger. [5] Diese Bemühungen blieben erfolglos – der Tee war bis ins 19. Jahrhundert die begehrteste Ware, die aus China nach Europa kam.

  1. Geleherte Beyträge zu dem Wienerischen Diarium, oder Auszüge aus verschiedenen ausländischen Monat- und Wochenschriften. Sonnabends, Nro. 71. den 5ten Herbstmonat im Jahre 1767, [S. 1 f.] Online bei ANNO [dort S. 9 f.]
  2. Ebd. [S. 3]; online bei ANNO [dort S. 11].
  3. Dieser angebliche ‘amerikanische Tee’ hatte allerdings – wie Zeitgenossen bald erfuhren – mit dem chinesischen wenig gemeinsam, vgl. Gothaische gelehrte Zeitungen (10.9.1774) 560, online bei ANNO.
  4. Ebd. [S. 4]; online bei ANNO [dort S. 12].
  5. Ein Beispiel unter vielen: Johann Francke schlug vor, Veronica (Ehrenpreis) zu verwenden und widmete sich dem Thema in mehreren Schriften, u.a.: Johann Francke: Die preißwürdige Veronica oder europäischer Thee : wie selbige an statt der indianischen Thee mit Fug gebrauchet werden kan, auch worinnen derer, wie auch des Coffi Nutz und Eigenschafft bestehe … (Lübeck: Wiedemeyer 1695 [erste Aufl. 1694]; VD17 12:641673P, URN: urn:nbn:de:bvb:12-bsb10913515-0.

Quelle: http://mindthegaps.hypotheses.org/820

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Augmented Space – Augmented Reality: Technologischer Wandel – Gesellschaftlicher Wandel?

Von Claas Pollmanns Soziale Umbrüche und Gesellschaften im Wandel – so das Thema unserer Blogreihe. Für die Generation der Digital Natives gab es nie ein Leben ohne Internet – es war schon immer da. Das Internet wirkt sich dabei weitreichend … Weiterlesen

Quelle: http://soziologieblog.hypotheses.org/5287

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Dissertation: “Ununterbrochene Evidenz”

diss_gruberDa meine Dissertation nun bereits im Katalog des Österreichischen Bibliothekenverbundes zu finden ist, darf ich ihre Einreichung auch an dieser Stelle vermelden. Die Projektbeschreibung meines Beitrages innerhalb des DOC-teams habe ich um Kurzfassung (dt.) & Abstract (eng.) ergänzt, und auch das Inhaltsverzeichnis meiner Abschlussarbeit stelle ich hier zur Verfügung. Ein PDF der Vollversion sende ich auf Anfrage gerne persönlich zu.

Nachdem nun die Begutachtung abgeschlossen ist, wird die Defensio voraussichtlich im Herbst dieses Jahres stattfinden – Terminankündigung folgt.

Quelle: http://www.univie.ac.at/identifizierung/php/?p=5518

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… in saecula saeculorum. – Bestandserhaltung im Alltag – Teil 1: Grundlagen

Ein Archivale oder ein Buch einer Bibliothek kann aus vielen Gründen dem Verfall preisgegeben sein. Sei es, weil das Material von Grund auf schlecht fabriziert ist, sei es, dass äußere Umstände zu einem beschleunigten Verfall führen. Drei Faktoren sind es, die Archivare und Bibliothekare zur Bestandserhaltung bestimmen können und immer im Auge haben müssen: die Lagerungstemperatur, die Luftfeuchtigkeit und das Nahrungsangebot für eventuelle Schädlinge. Welche Maßnahmen das Archiv der Erzdiözese Salzburg und die Diözesanbibliothek Salzburg in diesem Bereich setzen, soll in diesem Artikel ein wenig näher beleuchtet werden.

Bestünden unser Archiv und unsere Bibliothek alleine aus Einzelblättern aus Papier, wäre eine Lagerung unter 0° C und eine möglichst niedrige Luftfeuchtigkeit wohl die beste Umgebung um die Bestände “in saecula saeculorum” zu erhalten. Wollte nun jemand diese Bestände benutzen, stünden wir schon vor dem ersten Problem: Lange Aufwärm- und Abkühlzeiten wären nötig um Kondenswasserbildung und Feuchtigkeitseintrag in die Magazine zu vermeiden. Arbeit in den Magazinen wäre außerdem bei diesen Temperaturen nur schwer möglich und nicht besonders angenehm. Da ein Archiv- und Bibliotheksbestand nie nur aus Papier, sondern auch aus Pergament, Leder, Textilien und Leim besteht, muss zwischen den Bedürfnissen (vor allem Feuchtigkeitsbedürfnissen) der einzelnen Materialien ein Kompromiss gefunden werden. Leder und Pergament, Holz und Bindeleim brauchen eine höhere Luftfeuchtigkeit als Papier, um ihre Form nicht zu verlieren. Archivmitarbeiter brauchen Temperaturen, die einer Arbeitsumgebung angemessen sind. Und zu guter Letzt soll die Lagerung auch nicht zu viel kosten. Eine Dauertiefkühlung der Magazine ist also keine angemessen erscheinende Variante. Die in der Literatur und Fachwelt immer wieder empfohlenen Lagerbedingungen (ca. 18° C, ca. 45-55% rel. Luftfeuchtigkeit, möglichst geringe Schwankungen) stellen einen Kompromiss zwischen den zahlreichen Bedürfnissen der gelagerten Materialien dar.

Luftfeuchtigkeit und Temperatur zu kontrollieren und zu verändern, bzw. vor Veränderung zu bewahren ist keine einfache Angelegenheit. Schon die Bauweise eines Magazinraumes hat darauf großen Einfluss. Eine Kontrolle dieser Umweltbedingungen ist unter günstigen Umständen durch bloße Lüftung und gute Wärmeisolierung möglich. Zweifellos ist dafür einige Fachkenntnis von Nöten, bei entsprechender Bauweise und günstigen Umgebungsbedingungen kann dadurch aber durchaus das Klima eines Magazins den oben geschilderten Erfordernissen entsprechend gehalten werden – kleinere Betriebsunfälle und Unachtsamkeiten sind dennoch immer möglich. Unser Archiv besitzt mehrere Tiefspeicher, eine Klimakontrolle durch Lüften ist daher nur schwer möglich. Die hohe Anzahl an Regentagen in Salzburg, die vom Mönchsberg ausgehende Feuchtigkeit und die Staub- und Abgasbelastung in der Stadt sind weitere Argumente gegen ein Magazin, das durch Frischluft klimatisiert wird. Daher werden die klimatischen Bedingungen unsere Magazine durch eine alle Bereiche abdeckende Klimaanlage geregelt. Die Komplexität dieser Anlage ist für einen durchschnittlichen Archivmitarbeiter nur schwer durchschaubar. Fehler können nur mit Hilfe entsprechender Fachkräfte aus dem Bereich der Klimatechnik behoben werden und Betriebsunfälle und Unachtsamkeiten sind hier ebenso möglich, wie bei der oben geschilderten “technikfreien” Methode der Magazinklimatisierung. Das Fazit aus diesen Überlegungen muss also lauten: Das Klima entzieht sich letztlich immer ein wenig unserer vollständigen Kontrolle. Egal, wie ideal ein Archiv angelegt ist, egal wie viel in eine Klimaanlage investiert wird – eine Restunsicherheit bleibt erhalten. Ein paar Stunden erhöhte Luftfeuchtigkeit im Raum mit einem Bestand, der sich schon anfällig gezeigt hat, genügen um den Albtraum eines Archivars oder Bibliothekars zur flaumig weißen Schimmelwirklichkeit werden zu lassen – und kaum einer, der diesem Albtraum nicht schon begegnet ist.

Starker oberflächlicher Schimmelbefall an Büchern, die direkt an einer Wand standen

Weißer Schimmelflor an feucht gelagerten Büchern

Wie in der Einleitung erwähnt, gibt es aber neben der Luftfeuchtigkeit und der Temperatur noch einen dritten Faktor, der aber gerne übersehen wird: das Nahrungsangebot für Schädlinge. Ein solcher Schädling ist meist der Schimmel, manchmal auch ein Schwammbefall, hie und da auch Insekten. Das Nahrungsangebot in Form von Papier, Pergament, Leder und Leim wird sich dem Schädling schwer entziehen lassen, das würde schließlich die Vernichtung des Bestandes bedeuten. Was aber bewirkt werden kann, ist den verschiedenen Schädlingen eine Ansiedlung durch leicht erreichbare Nahrung möglichst schwer zu machen, kurz gesagt: Sauberkeit.

Staub ist ein großer Feind des Buches. Staub enthält Schimmelsporen, Bakterien und unter Umständen auch Insektengelege. Darüber hinaus ist Staub sehr nährstoffreich für Pilze aller Art und leicht erreichbar. Hat er Gelegenheit ins Innere eines Buches einzudringen, werden auch allerhand Schädlinge mit eingebracht. Falls Staub durch einen Schimmelbefall gebildet wurde und daher viele Pilzsporen und Hyphen enthält, hat er auch ein gewisses toxisches Potential und ist damit für den Menschen gesundheitsschädlich. Ist ein Bestand stark staubig und verschmutzt, wird er sich bei erhöhter Luftfeuchtigkeit und Temperatur auch viel anfälliger für einen Schädlingsbefall zeigen. Ein Bestand, der sauber und einigermaßen staubfrei ist, zeigt auch bei länger andauernden, weniger günstigen klimatischen Bedingungen nicht sofort Spuren eines Schädlingsbefalls. Ein sauberes Blatt Papier wird mit etwas Glück selbst bei einem Wasserschaden ohne Schädlingsbefall davonkommen.

Einige Links mit weiterführenden Informationen zum Thema Bestandserhaltung:

Quelle: http://aes.hypotheses.org/240

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Was uns fehlt: medizinhistorische Blogs #catchthekidney

Das sage noch mal einer, das Internet und die sozialen Medien würden unsere sozialen Beziehungen verarmen und uns alle verrohen lassen. Wenn es dafür noch ein Gegenbeispiel gebraucht hätte, dann haben wir es spätestens jetzt. Wer dem Hashtag #catchthekidney auf Twitter folgt, weiß, wovon die Rede ist: Lars Fischer alias @fischblog, einer der bekanntesten und beliebtesten Wissenschaftsblogger in Deutschland (Fischblog bei den SciLogs) und Redakteur bei Spektrum.de, hat an diesem Mittwoch eine Spenderniere von seiner Mutter bekommen. Bereits seit einigen Monaten hat er unter dem hashtag über die Voruntersuchungen und jetzt auch bis kurz vor der OP (und zum Glück auch danach!) getwittert. Aus der Community kamen Zuspruch und Nachfragen über Twitter, da werden virtuell Schokomandeln gereicht und ge-*flauscht*, Trost und Mut zugesprochen und vor allem natürlich Witze gerissen. Zusätzlich wurde ein gleichnamiges Blog aufgesetzt, auf dem Genesungswünsche etc. gesammelt werden.

Im Blog Medicine & More hat Trota von Berlin jetzt aus diesem Anlass einen Beitrag “Transplantation und mehr: Catch the Kidney, @Fischblog!” über Organspenden und Transplantation geschrieben und dabei die Erfolgsstory von #catchthekidney nacherzählt. Gestern wurde zu dieser Blogidee bereits getwittert und die Frage gestellt, ob nicht aus geisteswissenschaftlicher Sicht jemand von de.hypotheses dazu bloggen könnte, ob mit historischem oder mit ethischem Blickwinkel.

Tweetwechsel zur Frage, wie aus geisteswissenschaftlicher Sicht über Organspende und Transplantation gebloggt werden kann.

Community-Managerin Charlotte Jahnz hat es gestern getwittert und in der Tat: Medizinhistorische Blogs fehlen uns auf der deutschen Seite der Plattform. Auf der französischen Seite gibt es Blogs zu Gesundheit und Medizin aus geisteswissenschaftlicher Sicht wie beispielsweise Corps et Médecine oder Anthropologie et santé mondiale. Außerdem kann auf das anregende englischsprachige Blog The Recipes Project verwiesen werden, das mittelalterliche Rezepte, Essen, Zauberei und Medizin behandelt. Vielleicht greift ja jemand die Anregung auf? Ein einzelner Beitrag zur “historischen Nierentransplantation”, wie von TEXperimenTales-Blogger Jürgen Hermes vorgeschlagen, wäre ja schon mal was. Die Community wird es sicherlich danken…

Quelle: http://redaktionsblog.hypotheses.org/1470

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SdK 60: Hans-Ulrich Wagner über Klangarchäologie

Hans-Ulrich Wagner untersucht die Geschichte des Radios an der Schnittstelle zwischen Zeitgeschichte und Medienwissenschaft. Die Rekonstruktion von vergangenem Hören vergleicht er mit der Archäologie, da er aus einer Fülle von unterschiedlichen Materialien historische Kommunikationsprozesse analysiert. Einen besonderen Stellenwert nimmt dabei die Stimme ein, mit deren Hilfe in der Nachkriegszeit ein demokratischer Ton etabliert werden sollte. Das Mikrofon galt als Lügendetektor, weil den Radiostimmen mehr als anderen Medien Authentizität und Ehrlichkeit zugeschrieben wurde.

Linkliste: Hans-Ulrich Wagner, Bismarck-Aufnahme, Franklin D. Roosevelt (Wikipedia), Volksempfänger (Wikipedia), Freies Radio (Wikipedia), Peter von Zahn (Wikipedia), Gerhard Paul

Quelle: https://stimmen.univie.ac.at/podcast/sdk60

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