Libre comme l’air

Les choses auraient sans doute été plus simples si je n'avais pas été fatiguée au point de ne plus être capable de rentrer un mot de passe correctement. C'est à 9:53 exactement que j'ai réussi à me logger et pu commencer à annoncer, expliquer, et lancer l'interview de deux heures sur les réseaux historiques que je donnais depuis le compte de l'AG Digitale Geschichtswissenschaft prévue de 10 à 12h ce 17 décembre 2014.

Deux heures de gazouillis à l'air frais -Un air frais bien rempli, les deux heures ont été denses. Mes expériences de lecture de twitterinterviews ne m’avaient pas vraiment préparée à l'exercice en position d’intervieweur. J'avais pourtant l’impression d’avoir bien anticipé mon affaire : j’avais défini à l'avance une série de thèmes en fonction des compétences et expériences des personnes que j'interviewais (l'une sur la dimension théorique, l'autre davantage sur les aspects pratiques), et j'avais communiqué ce fil directeur quelques jours à l'avance à mes interlocuteurs. J'avais peiné à trouver un hashtag et finalement opté pour #hnSTR (historische Netzwerke/historical networks suivi du code ville de là où j’enseigne, puisque l’interview avait lieu dans le cadre d’un cours).

Mais il s’est avéré plus difficile que je ne le pensais de trouver un bon rythme d’interview (le storify sera bientôt consultable). J’ai attaqué beaucoup trop sur les chapeaux de roues et ai du coup lancé plusieurs questions en parallèle, n’attendant pas assez longtemps les réponses (souvent en 2 ou 3 parties) de la personne que j’interviewais. Pour tout dire, je lui suis bien reconnaissante, car après avoir entrelacé les fils de la discussion 2 ou 3 fois, j’ai compris qu’il fallait que j’attende plus longtemps entre les questions. C’est ce qui m’a permis de sortir de mon schéma d’interview et de réagir à partir de ses réponses pour approfondir sur un aspect ou l’autre : or c’est précisément ce temps d’approfondissement qui a donné de la profondeur à cette partie de l’interview, une sorte de souffle.

Les choses se sont un peu accélérées ensuite une première fois au moment du passage de relais, la deuxième personne interviewée ayant rebondi sur plusieurs aspects de la première interview. Ensuite, d’autres interlocuteurs se sont immiscés dans la discussion, ce qui a à nouveau densifié le flux d’informations. Pour le coup, je n’avais plus le temps de formuler mes demandes de précision à partir des réponses fournies à mes questions de départ, Mareike König les formulait plus vite que moi (pratiquement à l’identique de ce que j’étais en train d’écrire). Tandis que la discussion commençait à foisonner et à partir vers des questions fondamentales (métadonnées, structures des données, rapport entre question de recherche, sources et outils), je passais de mon côté de l’écran la plupart de mon temps à commencer un tweet pour l’effacer, et finalement ne rien envoyer. C’est à ce moment-là que je suis revenue vers mon fil d’interview, qui m’a permis de restructurer la fin de la discussion.

Il faut donc un savant mélange de directivité et de participativité pour réussir sa twitterinterview, telle serait ma conclusion.

Dans l’ensemble, c’est un exercice assez intéressant pour cet aspect rythmique, le souffle que cela requiert : penser le lecteur, penser la personne interviewée, penser l’archivage de la discussion et trouver un rythme adapté à tous ces aspects. Lorsque Sebastian Giessmann écrivait qu’il faut penser en réseau pour penser les réseaux, il y a un peu de cela dans l’exercice de la twitterinterview, il faut penser le réseau pour penser l’interview.

En ce qui concerne la densité des idées et analyses échangées, on peut aller étonnamment en profondeur. Peut-être cela tient-il au fait que, dans l’utilisation scientifique de twitter, nous sommes habitués à mettre des concepts génériques en relation les uns avec les autres, donc à travailler avec de gros concepts et une syntaxe minimale. Une question de recherche peut bien, après tout, être articulée en 140 caractères. Et être relayée par une autre, puis une autre, jusqu'à former une argumentation. Twitter comme pratique d’écriture scientifique, nous y revoilà.

 

Quelle: http://140.hypotheses.org/100

Weiterlesen

Was Atari und iPhone gemeinsam haben

Voraussagen sind schwierig, besonders, wenn sie die Zukunft betreffen. Das klassische Bonmot kann immer herausgeholt werden, wenn man sich im Nachhinein die Voraussagen anschaut, die alle nicht eingetroffen sind (und das sind die meisten). Kürzlich geisterte im Netz ein Artikel der Welt herum, in dem sich die Autoren über die Voraussage der Stiftung Warentest aus dem Jahre 1984 lustig machen, dass dem Heimcomputer keine große Zukunft beschieden sei, da sich keine vernünftigen Anwendungsmöglichkeiten finden ließen. Ho, ho, ho, die Trottel. Wenn man aber genau hinschaut, hatte die Stiftung Warentest jedoch mit ihrer Einschätzung völlig Recht. Um das zu verstehen, müssen wir ihre Prognose genauer anschauen. 

Problematisch empfanden die Tester, die "verzweifelt nach Anwendungsmöglichkeiten suchten", nämlich nicht die Möglichkeiten des Geräts per se, sondern seine aktuellen Grenzen. Die schrottigen Eingabegeräte (effektiv unbrauchbare und völlig unergonomische Tastaturen), die grausame Grafikqualität, die teilweise das Lesen unmöglich machte, das Nicht-Vorhandensein von Speicherplatz und vieles andere Mankos machten die damaligen Heimcomputer (nicht zu verwechseln mit den als Arbeitsgeräte gedachten Personal Computern) zu ziemlich teuren technischen Spielzeugen, die damals eine Modeerscheinung wie das erste iPhone 2007 waren. Auch dem wurde keine Zukunft vorausgesagt, weil es letztlich für seinen Preis viel zu wenig Anwendungsmöglichkeiten bot (man denke daran, dass erst das iPhone 2 Apps besaß). 

Ebenfalls auffällig war, dass über die Hälfte der Käufer angab, gerne an den Geräten spielen zu wollen, was für rund 70% der stolzen Besitzer denn auch der Haupteinsatzzweck der Geräte wurde. Nicht gerade das Kompetenzfeld, das die Hersteller mit ihrer Betonung der Büro- und Verwaltungsoptionen immer anpriesen und das, wie die Stiftung Warentest korrekt vermerkte, angesichts der geringen Grafikfähigkeiten der Rechner auch eher ungenügend ausgefüllt wurde. 
Beide Voraussagen waren daher für ihr jeweiliges Produkt korrekt - sofern diese Mankos nicht ausgeräumt wurden, gab es für die breite Mehrheitsbevölkerung eigentlich keinen ernsthaften Grund, sich die überteuerte Hardware zuzulegen. Den Durchbruch auf den Massenmarkt schafften die Geräte daher auch erst, als eben diese Mankos ausgeräumt waren. Dies gelang für die Heimcomputer vor allem durch einfach zu bedienende Betriebssysteme und Programme, allen voran Microsofts DOS und die Office-Anwendungen dazu.

Man würde aber die Stiftung Warentest auffordern, ihr Mandat ziemlich zu missachten, wenn man sie aufforderte, einen Blick in die Glaskugel abzugeben und mögliche zukünftige Produkte einzuschätzen. Was sie bewerteten war das Produkt, das ihnen zur Verfügung stand - und das waren schwer defizitäre, völlig überteuerte Heimcomputer ohne vernünftige Anwendungsmöglichkeiten.


Quelle: http://geschichts-blog.blogspot.com/2014/12/was-atari-und-iphone-gemeinsam-haben.html

Weiterlesen

IDE meets DiXiT – Spring School 2015 Advanced XML/TEI technologies for Digital Scholarly Editions

Call for Participation:

We are very pleased to announce the Spring School on Advanced XML/TEI technologies for Digital Scholarly Editions organized and endorsed by the Institute for Documentology and Digital Editing e.V. (IDE) and the Digital Scholarly Editions Initial Training Network (DiXiT). The spring school will be run and held at the at the Centre for Information Modelling – Austrian Centre for Digital Humanities at the University of Graz from 13th to 17th April 2015.

 

The spring school is directed to participants with previous experience in XML/TEI editing who would like to involve themselves more intensively with the creation of digital scholarly editions based on the international encoding standard XML TEI P5. Besides addressing specific issues and use cases of text encoding, the participants will be trained what to do with the data once the encoding is done and how to process it further until the publication on the WWW. To this end the teaching will strongly focus on XPath, XSLT, HTML and CSS as technologies for the web publication of digital scholarly editions.

Since the level of this spring school is advanced, previous knowledge of TEI practices is not only recommended but necessary for participation.

 

The lectures will be held by experts from the field of Digital Scholarly Editing, related to the DiXiT network or the IDE (James Cummings, Franz Fischer, Ulrike Henny, Torsten Schaßan, Martina Semlak, Magdalena Turska, Gunter Vasold, Georg Vogeler). Tara Andrews (Univ. of Bern) has agreed to give a keynote.

The School will cover the following areas:

 

  • issues when working with XML TEI P5 (to be proposed by the participants)
  • customization of the TEI schema
  • creating web pages with HTML/CSS and JavaScript and JQuery
  • transforming the TEI XML with XSLT/XPath
  • publishing frameworks for digital scholarly editions
  • use cases for research on and with digital scholarly editions

 

The IDE-meets-DiXiT Spring School on Advanced XML/TEI technologies for Digital Scholarly Editions is open to interested scholars anywhere in the world with previous experience in digital scholarly editing with the TEI. As the course will strongly focus on practical exercise, we can accept only applications which can bring own material for the exercises. All teaching will be in English.

 

The course offers 20 positions. Participants will be required to arrange their own accommodation and travel to Graz. The participation fee will be 100 EUR. A limited number of bursaries will be available for the participation fee, travel and accommodation in particular for participants from less developed countries and from Eastern Europe.

 

Application closes on 10st February 2015 and early registration is highly recommended.

For the application we need from you

  • your name, address, e-mail, institutional affiliation (if applicable)
  • a short description of your project
  • this online questionnaire

If you want to be considered for the bursary please give indicate

  • approximate amount for travel and accommodation expenses
  • do you need a reduction on the participation fee?
  • academic status (graduate student, PhD student, PostDoc, fully trained scholar, other)

Please send your application and any question you have to dixit@uni-graz.at

We will publish further information on the school at http://www.i-d-e.de/aktivitaeten/schools/spring-school-2015

Quelle: http://dhd-blog.org/?p=4516

Weiterlesen

DH-Videoclip Adventskalender – Tür 17

Enthusiastische Google-Mitarbeiter (Ist das Essen bei Google wirklich frei von Zusatzstoffen?) erklären in diesem Imagevideo wieso die Welt eine bessere Dank Googles Knowledge Graph ist.

Get an under the hood look at the next frontier in Search, from the team at Google behind the technology. The Knowledge Graph is a huge collection of the people, places and things in the world and how they’re connected to one another. With this technology, Google can get you the best possible answers and help jump start your discovery. (Quelle: http://youtu.be/mmQl6VGvX-c)

Seit Ende 2012 ist die Datenbank für Deutschland freigeschaltet, Anfang des Jahres wurde sie stärker mit der Google-Suche verknüpft.

Quelle: http://dhd-blog.org/?p=4473

Weiterlesen

Aufstieg und Fall der ersten liberalen Weltordnung

Von Stefan Sasse

Woodrow Wilson 1919
Als der Erste Weltkrieg 1914 ausbrach und in der Folgezeit in den Schützengräben der Westfront zu einem erstickenden Abnutzungskrieg wurde, war dies für viele der Anlass, zu Friedensverhandlungen und dem Schmieden einer neuen Weltordnung aufzurufen. Besonders in liberalen und sozialistischen Kreisen sah man in Imperialismus und Militarismus die treibenden Kräfte hinter dem Ausbruch des Krieges, auch wenn man daraus unterschiedliche Schlüsse zog. Während die Sozialisten für die Revolution und die Überwerfung der Herrschaft von Bourgeoisie und Adel agitierten, sprachen sich die Liberalen für eine neue Weltordnung internationaler Organisationen, der Abrüstung und der gemeinsamen Sicherheitskontrollen aus. In den kriegführenden Staaten selbst war diese Ansicht naturgemäß nicht sonderlich weit verbreitet - dafür war man dem Krieg wesentlich zu nah. Ein gewichtiger Vertreter dieser Überzeugung aber regierte damals eine Nation, die in den Jahren des Ersten Weltkriegs mit ungeheurer Macht an die Spitze der Welt rücken sollte: Woodrow Wilson, der 28. Präsident der Vereinigten Staaten von Amerika. 

Im Gegensatz zu Franklin D. Roosevelt im Zweiten Weltkrieg verspürte Wilson keine Verbundenheit mit Großbritannien oder Frankreich und noch viel weniger mit Russland. Auch Deutschland und Österreich-Ungarn schätzte er nicht gerade sonderlich. Ihm schwebte eine neue globale Sicherheitsarchitektur vor, in der die USA tonangebend sein würden - aber nicht durch die relative Stärke ihrer Armeen (die US-Armee war zum Kriegseintritt von 1917 schwächer als die Portugals) sondern durch ein dichtes System gegenseitiger Verträge und internationaler Institutionen, überwacht durch gegenseitige Kontrolle und, vor allem, das unerbittliche Diktat der Finanzmärkte. 

Wilson (rechts) in Versailles, 1919
Mit dieser Konzeption im Kopf schrieb Wilson seine berühmten 14 Punkte auf. In der Geschichtsschreibung und populären Erinnerung werden diese zumeist mit den Gedanken vom "Selbstbestimmungsrecht der Völker" in Verbindung gebracht, gerne mit dem Hinweis garniert, dass Wilson in idealistischer Verblendung die Konsequenzen für Deutschland - das die im Versailler Vertrag verlorenen Gebiete mit dieser Argumentation zurückfordern konnte - nicht bedachte. Dabei werden aber zwei Dinge vergessen. Erstens waren Wilsons Punkte zu einem Zeitpunkt gemacht worden, als sich das Deutsche Reich noch eher auf der Siegerstraße sah (eine Einschätzung, die die Alliierten und Amerikaner teilten) und hätten diesem eher geschadet, weswegen die Reichsregierung einen Friedensschluss unter amerikanischer Vermittlung auch ablehnte und erst im Herbst 1918 im Angesicht der Niederlage hervorkramte. Und zweitens hatte Wilson Deutschland nicht im Sinn. Seine 14 Punkte richteten sich gegen England und Frankreich und ihre vom freien Weltmarkt abgeschotteten Kolonialreiche. Dass Deutschland nach dem verlorenen Krieg würde zahlen müssen, stand für Wilson schon immer fest. Die Zähmung Deutschlands war für ihn eine ausgemachte Sache. Sein Fokus lag auf den Alliierten, zu denen nicht zu gehören Wilson stets sicherstellte (die USA galten als "assoziierte Macht"). 

Wie also sah die neue Weltordnung aus, die Wilson in Versailles zu installieren gedachte? In ihrem Kern sollte sie den Völkerbund besitzen. Dieser Vorläufer der heutigen UNO sollte als Schiedsrichter für zwischenstaatliche Streitigkeiten bereitstehen und im Falle eines Angriffs auf einen Mitgliedsstaat Truppen aller Mitglieder zu dessen Verteidigung bereitstellen: eine Garantie, dass niemand den Aggressionen von Kriegstreibern ausgesetzt sein würde. Diese Bedingung war vor allem für Frankreich wichtig, das einen Schutz vor Deutschland brauchte, dessen Zerschlagung ihm in Versailles nicht gestattet wurde. Gleichzeitig sollte der Völkerbund über das nächste Kernstück wachen, die Abrüstung. In den Waffenarsenalen der Großmächte vor dem Ausbruch des Ersten Weltriegs sahen viele die Ursache von dessen zerstörerischem Potential. Der Abbau der Waffenarsenale und die Begrenzung der Rüstung musste daher Priorität haben und gleichzeitig Mittel für die Friedenswirtschaft lösen, die Wohlstand für alle bringen und Kriege damit ohnehin überflüssig machen würde. 

Granatenproduktion im Ersten Weltkrieg
Es ist einfach zu sehen, warum Deutschland in Wilsons Überlegungen keine große Rolle spielte: der Völkerbund war wie die UNO nicht als universale Organisation angelegt, sondern als Organisation der Sieger. Deutschland hatte darin genausowenig einen Platz wie die Sowjetunion. Gleichzeitig war Deutschland durch den Versailler Vertrag ohnehin zur Abrüstung gezwungen. Es musste daher in das neue internationale System überhaupt nicht integriert werden. Relevanter waren Frankreich und Großbritannien. Beide wehrten sich gegen Wilsons Ideen. Ihre Kolonialreiche waren von den Ideen der 14 Punkte direkt bedroht, und Frankreichs Sicherheitsinteresse gegen Deutschland wie Großbritanniens Rolle als globale Handelsmacht durch Rüstungsbeschränkungen von Armee und Flotte aktiv bedroht. Zum Zuckerbrot der Sicherheitsgarantien durch den Völkerbund gebrauchte Wilson daher auch die Peitsche der Finanzpolitik. 

Besonders ab 1916 zeigte sich, dass die Alliierten amerikanische Hilfe benötigten, um Deutschland die Stirn bieten zu können. Sie kauften daher immer mehr in den USA ein, um Kapazitäten in der eigenen Kriegswirtschaft zu schaffen (die US-Rüstungsindustrie war damals noch nicht das "arsenal of democracy", die Alliierten kauften eher Rohstoffe und Investitionsgüter und produzierten die Waffen damit selbst). Zu finanzieren waren diese letztlich kriegsentscheidenden Warenströme nur mit amerikanischem Kredit - und dessen Fluss setzte Wilson aktiv als Waffe ein, drohte mehrmals mit seinem Versiegen zwang Frankreich und Großbritannien somit dazu, viele amerikanische Forderungen als Grundlage der Friedensverhandlungen zu akzeptieren. Wilsons erklärtes Ziel war ein "Frieden ohne Sieger", der vermutlich für Deutschland vorteilhaft gewesen wäre (zumindest verglichen mit Versailles). Ironischerweise war es Deutschland mit seiner Politik des unbegrenzten U-Boot-Kriegs, das Wilson zu dem Schritt zwang, den er eigentlich hatte vermeiden wollen: dem direkten Eintritt in den Krieg. 

Plenarsaal des Reichstags 1906
Denn dieser schwächte sofort die amerikanische Position gegenüber den Alliierten. Die amerikanische Hilfe hatten sie nun, so oder so. Sie waren daher auch nicht mehr gezwungen, Wilson so weit entgegenzukommen wie noch 1916, wo sie es Deutschland überlassen hatten, den schweren diplomatischen Fehler zu begehen und Wilsons Friedensangebote abzulehnen. Selbst leisten konnten sie sich diesen Schritt, den sie heimlich sehr begrüßten, nicht. Der Vertrag von Versailles enthielt daher am Ende zwar viele, aber längst nicht alle Vorstellungen des Präsidenten über die Nachkriegsordnung. So waren etwa die englischen und französischen Kolonialreiche effektiv ausgenommen und wurden durch die Völkerbundmandate über die ehemaligen deutschen und osmanischen Gebiete sogar effektiv erweitert. 

Gleichwohl wurde die Friedensordnung in den Folgejahren schnell weiter gefestigt. Die gewaltigen Schulden der Alliierten bei den Amerikanern zwangen diese weiterhin zu einer kooperativen Grundhaltung, gleichwohl sie sich auch dagegen aufzubäumen versuchten. Die Briten akzeptierten die neue amerikanische Vormachtsstellung schneller als die Franzosen, schon allein, weil sie sich nicht durch die Deutschen gefährdet sahen und mit der neuen, im Ersten Weltkrieg geschaffenen und stark weltweit agierenden US Navy ihre eigenen Verpflichtungen bei der Sicherung der Handelsrouten herunterfahren konnten. Auch die Franzosen reduzierten ihre Flotten letztlich auf das Niveau einer Regionalmacht und entlasteten so ihren Haushalt. Die Franzosen jedoch waren zur Bezahlung der amerikanischen Kredite massiv auf die deutschen Reparationszahlungen angewiesen, denn der Aufbau der im Krieg zerstörten französischen Gebiete verschlang Unsummen, die aktuell aus amerikanischen Krediten gespeist wurden - denn die Deutschen verzögerten die Reparationen, wo sie konnten. Für die Franzosen entstand ein Dilemma, denn sie bezahlten doppelt - einmal für den Wiederaufbau selbst, und dann noch einmal für die Zinsen an die USA. Der Versuch, den gordischen Knoten 1923 mit der Besetzung des Ruhrgebiets zu zerschlagen, endete für die Franzosen in einem außenpolitischen und für die Deutschen in einem innenpolitischen Desaster. 

Calvin Coolidge, Präsident ab 1923
In der Zwischenzeit hatte die internationale Ordnung jedoch einen schweren Schlag erhalten: Wilson, gesundheitlich ohnehin angeschlagen, verlor den innenpolitischen Machtkampf gegen seine Gegner. Deren Ablehnung des Völkerbundes und des Versailler Vertrags im Senat entzog der Institution ihren wichtigsten Unterstützer. Die Gegner Wilsons hatten jedoch einige Schwächen zielstrebig erkannt: effektiv zwang der Völkerbund nämlich seine Mitglieder, im Falle eines Angriffs eigene Truppen in ferne Kriege zu schicken. Taten sie dies nicht, würde der Völkerbund zusammenbrechen - was in den Dreißiger Jahren dann ja auch tatsächlich geschehen würde. Vorerst jedoch blieb die amerikanische Abstinenz folgenlos. Das eine Bein der amerikanischen Nachkriegsordnung, das institutionelle, war damit zwar geschwächt. Aber das andere stand dafür umso fester: die Kontrolle der Allliierten und Mittelmächte durch die internationalen Finanzmärkte. 

Unter Präsident Calvin Coolidge, dem Vizepräsidenten des 1923 überraschend verstorbenen Warren G. Harding, zogen sich die USA aus den letzten Verpflichtungen der Weltkriegszeit zurück. Mit Deutschland, dem Osmanischen Reich und Österreich hatte man separate Friedensverträge geschlossen, die letztlich den diplomatischen status quo ante wiederherstellten. Dies wird zwar weithin als "Isolationismus" gesehen, aber dies trifft nur insofern zu, als dass man auf militärische und diplomatische Engagements der USA blickt. Wirtschaftlich und finanzpolitisch ist davon wenig zu sehen, denn diesen Kurs Wilsons setzte Coolidge wie auch Harding vor ihm entschieden fort. Als gläubige Jünger der neoklassischen "Laissez-Faire"-Politik ließen sie der Wirtschaft und der Wallstreet viele Freiheiten, die diese auch weidlich nutzten (und die sich bis 1929 zu einer gewaltigen Blase verdichteten). Gleichzeitig steuerte das Weiße Haus den Zugang der europäischen Staaten zu den Krediten der US-Banken. Ohne Garantien und Empfehlungen der US-Politik war hier nichts zu machen, und ohne diese Kredite musste Europa in wirtschaftlichem Chaos versinken (wie es es dann ab 1929 auch tat). 

Wahlkampf mit Goldstandard 1900
Entsprechend folgten mit Frankreich und Deutschland auch die beiden anderen großen europäischen Staaten Großbritannien in dessen Akzeptanz der neuen Weltordnung. Ihre sichtbarste Grundlage war der Goldstandard, dem Folge zu leisten hieß, sich den Gesetzen der Wallstreet zu unterwerfen. Diese lauteten vor allem: Liberalisierung der Märkte und Beschneidung der öffentlichen Ausgaben. Beides vertrug sich überhaupt nicht mit der Idee starker Armeen und einzelstaatlicher Prestigekämpfe, wie sie im Imperialismus üblich gewesen waren. Länder, die gegen diese Gesetze verstießen, verloren den Zugang zum Geld, und damit die Möglichkeit, den Goldstandard zu halten - die Eintrittskarte in die neue liberale Weltordnung. Der Goldstandard war daher nicht nur eine ökonomische, sondern auch eine zutiefst politische Idee. Unter Kanzler Gustav Stresemann (und später Außenminister) steuerte Deutschland auf einen Kurs der Versöhnung mit Großbritannien und Frankreich, jedoch vor allem auf eine Umarmung der USA. Stresemanns Kalkül war es, Deutschland ganz bewusst in die völlige finanzielle Abhängigkeit von den USA zu bringen. Dies führte zu einem für die USA sehr profitablen Kreisverkehr: amerikanische Kredite finanzierten die deutschen Reparationszahlungen, die wiederum zur Rückzahlung amerikanischer Kredite dienten. Ein Perpetuum Mobile, das eine neue Festigkeit in die liberale Weltordnung brachte, so lange niemand auf die Idee kam, den Kreislauf gewaltsam zu durchbrechen, wie es Hoover 1931 tun würde. Deutschland auf der anderen Seite zwang damit die USA indirekt in die Rolle eines Sicherheitsgaranten: Frankreich war es fortan unmöglich, wie 1923 aggressiv gegen Deutschland vorzugehen, weil es für die USA nun elementates Selbstinteresse war, einen Zusammenbruch Deutschlands zu verhindern. Die Öffnung der Kreditschleusen bewirkte somit eine Bindung Deutschlands an die USA - gegen Frankreich und England. 

Unter diesem Druck brauch auch Frankreich, das am längsten Widerstand gegen die neue liberale Weltordnung geleistet hatte, schließlich ein und akzeptierte 1926 die neuen Spielregeln der Wallstreet. Es zeigte sich jedoch bereits in den Vorjahren, das - wie bereits Wilson erfahren musste - keiner dieser klugen Pläne den Kontakt mit der Innenpolitik unbeschadet überstand. Besonders in Deutschland wurde Stresemanns Politik von Anfang an von der anderen Neigung der deutschen Außenpolitik konterkariert, sich vom Westen zu emanzipieren und im Osten ein Gegengewicht zu finden. Der Vertrag von Rapallo 1924, in dem Deutschland ein freundschaftliches Verhältnis zur Sowjetunion aufbaute, zerstöre die Glaubwürdigkeit Berlins auf Jahre hinaus und belastete das Verhältnis zwischen den USA und den Alliierten auf der einen und Deutschland auf der anderen Seite schwer. Es war klar, dass das Deutsche Reich kein wirklich verlässlicher Baustein der liberalen Weltordnung war, selbst wenn es 1928 in einer amerikanisch-deutsch-französischen Trias, der sich auch Großbritannien anschloss, im Briand-Kellog-Pakt den Krieg als Mittel der Politik verdammte und sich damit eher zu liberalen Grundsätzen bekannte. 

Das japanische Flaggschiff Akashi, 1917
Für die Amerikaner war Europa jedoch stets nur ein Schauplatz. Ein anderer, fast wichtigerer, war Asien. Im russisch-japanischen Krieg von 1905 hatte Japan mit einem Knall die Weltbühne als Macht betreten und seither dazu angesetzt, die Region zu dominieren. Seine Mittel waren dabei denen der Amerikaner sehr ähnlich: auf liberale Prinzipien berufend und von einer starken Flotte unterstützt sorgte es für ein Zurückdrängen der Kolonialmächte und für Wachstumsperspektiven der eigenen Wirtschaft. Wir müssen sehr vorsichtig sein und das Bild des Japans der Dreißiger und Vierziger Jahre von dem der Zehner und Zwanziger Jahre trennen. In dieser Zeit war Japan ein liberaler Musterstaat. Es war eine der entscheidenden Stützen des Völkerbundes, setzte alle Regeln der neuen liberalen Weltordnung (sprich: Goldstandard und Liberalisierung) mustergültig um und gewährte eine große innenpolitische Freiheit. Paradoxerweise geriet es gerade dadurch in eine Konkurrenzstellung zu den USA, die ein großes Interesse am ungehinderten Zugang zu den sich entwickelnden chinesischen Märkten und keinerlei Interesse an einem Flottenwettrüsten im Pazifik hatten - genausowenig wie Japan.

Um einen solchen Antagonismus zu verhindern, riefen die USA 1922 zu einer großen Konferenz in Washington, der Ersten Flottenkonferenz. Die Amerikaner überraschten hierbei mit einer ungeheuer ambitionierten Antrittsrede, die nichts weniger als eine Abrüstung der weltweiten Flotten und ihre künftige Begrenzung forderte, und schafften es, diese Forderung zur Grundlage der Verhandlungen zu machen. Da Japan und Großbritannien grundsätzlich kooperationswillig waren und Frankreich und Italien flottenmäßig ohnehin allenfalls drittrangig war, ging es vor allem um die Details. Die Konferenz legte schließlich die Parität der beteiligten Mächte USA, GB, Japan, Frankreich und Italien auf 10:10:6:3:3 fest. Gleichzeitig wurde der Bau der teuren Schlachtschiffe effektiv verboten, die restlichen Flotten deutlich reduziert. Die Konferenz, die noch drei Nachfolgekonferenzen 1927, 1930 und 1935 haben sollte, war ein gewaltiger Erfolg der neuen liberalen Weltordnung, die nun dezidiert nicht auf militärischer Machtprojektion beruhte. 

Mussolinis "Marsch auf Rom" 1922
Gegen diese neue liberale Weltordnung jedoch regte sich erbitterter Widerstand. Während in den USA weitgehender Konsens über die neuen Methoden herrschte, dem sich Großbritannien aus Neigung und Frankreich aus Resignation weitgehend anschloss, verweigerte sich Russland weiterhin vollständig und wirkte innerhalb dieser Ordnung wie ein Schwarzes Loch, was durch die pro-zaristischen Interventionen der Alliierten 1918-1921, die in Moskau nicht vergessen worden waren, noch befeuert wurde. Gleichzeitig lehnte die Rechte in Italien, Deutschland und Japan die liberale Weltordnung entschieden ab und setzte ihr eine eigene, nationalstaatlich organisierte entgegen: die Idee wirtschaftlicher Autarkie, abgesichert durch militärische Stärke, versprach Unabhängigkeit von den Zwängen des finanzpolitischen Korsetts, das die Grundlage der liberalen Ordnung bildete. Seit Mussolinis Machtübernahme in Italien 1922, die sich im Verlauf des Jahrzehnts immer mehr festigte und das Land auf einen Gegenkurs steuerte, gab es in Europa ein klar sichtbares Gegenkonzept zum Liberalismus. 

In Deutschland gewannen die Exponenten dieser Politik temporär immer wieder die Oberhand. 1925 siegte der von ihnen unterstützte Hindenburg in den Präsidentschaftswahlen und sorgte für einen scharfen Rechtsruck in der Innenpolitik. Die Außenpolitik Deutschlands blieb eine stetige schaukelige: zähneknirschender Ausgleich mit dem Westen bei gleichzeitig maximaler, gerade auch militärischer, Bewegungsfreiheit im Osten im Verbund mit dem anderen Pariah der liberalen Weltordnung, der Sowjetunion. In den Augen dieser Politiker war die liberale Ordnung ein Instrument der Unterdrückung unter das angelsächsische Diktat, unnatürlich und auferlegt, das nur durch innere und äußere Stärke abgeworfen werden konnte. Auch in Japan war eine Minderheit in diesen Jahren wütend über den Kurs der Regierung, den sie als ehrabschneidend betrachtete. In beiden Ländern war das Militär eine Inkubationskammer des neuen Kurses - nachvollziehbar, gehörte es doch zu den größten Verlierern dieser neuen Ordnung. 

Menschenauflauf auf der Wallstreet, 1929
Es brauchte jedoch den externen Schock der Weltwirtschaftskrise ab 1929, um die Ordnung ins Wanken zu bringen. Außerhalb Großbritanniens und der USA betrachteten große Mehrheiten die Krise als Beweis für das Scheitern der liberalen Wirtschaftsordnung. Dieses Gefühl wurde durch die desaströse Politik der USA verstärkt: die Regierung Hoover verweigerte praktisch sämtliche Staatseingriffe, sowohl im Inneren (was die ungeheure Not von 25% Arbeitslosigkeit bedingte) als auch im Äußeren. Die amerikanischen Banken, von Bank Runs und Insolvenz bedroht, riefen ihre europäischen Kredite ab. Damit versiegte der komplette Finanzfluss, auf dem die Weltwirtschaft seit 1919 basiert hatte. Europa wurde damit vollständig in den Strudel der Krise gerissen, während sämtliche Bande, die die europäische Nachkriegsordnung mit ökonomisch mit den USA verbunden hatten, zerrissen wurden. Institutionelle Bande hatte es seit der Ablehnung von Völkerbund und Versailler Vertrag ohnehin nicht gegeben. Deutschland nutzte die Gelegenheit und stellte die Zahlung der Reparationen endgültig ein, ein Zustand, den Herbert Hoover unter dem Druck der Ereignisse im Hoover-Moratorium von 1931 sanktionierte. 

Das Hoover-Moratorium erklärte effektiv unilateral einen völligen Stopp von sowohl Kriegs- als auch Reparationsschulden. Diesem späten Versuch, den Schaden der letzten zwei Jahre zu begrenzen, war jedoch kein Erfolg beschieden. Besonders Frankreich fühlte sich von USA und Deutschland verraten (und mauerte sich in der Folgezeit hinter der Maginot-Linie sprichwörtlich ein), die Briten ebenfalls von beiden, wenngleich nicht mit der Intensität der Franzosen, und die Deutschen machten sich international wieder zu Pariahs, indem sie die Nachkriegsordnung offen attackierten. Nachdem Deutschland sich so aus dem institutionellen und ökonomischen Gewebe der liberalen Ordnung gewunden hatte, versuchte Reichskanzler Brühning mit dem bekannten Erfolg, auch die politisch liberale Ordnung zu beseitigen und durch eine autoritäre zu ersetzen, die dann im Geiste autarker, auf militärischer Stärke beruhender Außenpolitik die deutsche Stellung sichern werde. 

Chinesische Soldaten im Häuserkampf in Shanghai, 1937
In Japan vollzog sich zeitgleich ebenfalls ein scharfer Rechtsruck. In einer Welle von politischer Gewalt und mehreren Morden wurden die liberalen Regierungen aus dem Amt gespült und auf einen nationalistischen Kurs gezwungen, während das Militär "Zwischenfälle" mit China provozierte und einen Krieg heraufbeschwor, der eine Aufrüstung unabdingbar machte. Bis Mitte der Dreißiger Jahre hatte sich der japanische Flottenetat fast verfünffacht, und als das Land 1937 den Krieg mit China und den endgültigen Bruch mit den USA beschwor, wurde es bereits von einer autoritären Militärjunta regiert. Als Italien 1936 offen Äthiopien angriff, das Mitglied des Völkerbunds war, ohne dass die Weltgemeinschaft diesem zu Hilfe kommen würde, war auch das letzte institutionelle Standbein der liberalen Weltordnung zerschlagen.

Sie brach ab 1929 unter den Schlägen ihres Gegners, einer autoritären und auf militärischer Stärke angelegten nationalstaatlichen Ordnung vollständig zusammen. Ihre Schwäche gegenüber dem Ansturm dieser Feinde lag vor allem in zwei Faktoren begründet. Der eine Faktor war die institutionelle Schwäche. Die USA hatten sich nie verlässlich in das internationale System einbinden lassen und waren weder für Großbritannien und Frankreich auf der einen noch für Deutschland auf der anderen Seite ein verlässlicher Sicherheitsgarant. Der Völkerbund war daher stets ein tönerner Gigant, und die Wirtschaftsordnung zeigte sich angesichts des amerikanischen Egoismus 1929-1931 als genau die Würgeschlinge, als die ihre Gegner von rechts und links sie immer porträtiert hatten. 

Wahlplakat der NSDAP 1932
Der andere Faktor aber war die innenpolitische Folge der finanzpolitischen Ordnung. Das Einhalten des Goldstandards erforderte deflationäre Austeritätsmaßnahmen in allen Ländern (Japan, Deutschland und Frankreich mussten bei ihrer Annahme des Goldstandards jeweils herbe wirtschaftliche Einbußen in Kauf nehmen). Während dies für die Finanzwirtschaft ein Segen war, die daraufhin planmäßig die Budgetkontrolle übernahm und überwiegend Abrüstung erzwang, war es für die Realwirtschaft und die Masse der Bevölkerung mehr Fluch als Segen, die mit hoher Sockelarbeitslosigkeit und stagnierenden oder sinkenden Reallöhnen leben musste, was ihre Unterstützung der liberalen Weltordnung in engen Grenzen hielt. Solange keine glaubhafte Alternative dazu bereit stand, war dies kein ernsthaftes Problem (in Deutschland etwa konnten weder die KPD noch die DNVP diese bieten). Als jedoch mit den gut organisierten und ideologisch flexiblen autoritären Kräften ein Gegenangebot gemacht wurde, stiegen die Spannungen im Inneren fast ins Unerträgliche - und brachten das Gebilde unter dem Druck äußerer Ereignisse krachend zum Einsturz.

Quelle: http://geschichts-blog.blogspot.com/2014/12/aufstieg-und-fall-der-ersten-liberalen.html

Weiterlesen

Auf der Suche nach Vorfahren, die im 19. Jahrhundert nach Paris ausgewandert sind? Tipps zur genealogischen Suche

Vor dem protestantischen Heim deutscher Erzieherinnen in Paris, ca. 1900

Vor dem protestantischen Heim deutscher Erzieherinnen in Paris, ca. 1900 (Privatbesitz)

Häufig erhalte ich Anfragen von Privatpersonen, die bei der Suche nach einem Vorfahren, der nach Paris ausgewandert ist, im Internet auf mein Forschungsprojekt zu den Deutschen Einwanderern in Paris im 19. Jahrhundert stoßen. Viele sind von dieser massiven Abwanderung von deutschsprachigen "Gastarbeitern" nach Paris überrascht und fragen sich (und mich), was ihren Vorfahren veranlasst haben könnte, nach Paris auszuwandern. Darüber hinaus benötigen sie Ratschläge, wie sie am besten bei der Suche nach Urkunden und Dokumenten in Frankreich vorgehen sollen. Denn ohne Sprachkenntnisse und Kenntnisse der hiesigen Verwaltungsstruktur ist es schwierig, die richtige Stelle für Anfragen nach offiziellen Dokumenten (Geburts-, Tauf-, Hochzeits-, Einbürgerungsurkunden, Sterberegister etc.) zu finden. Höchste Zeit also, diese Hinweise und Tipps für die Suche nach Urkunden und Dokumenten zu Einwanderern in Paris hier öffentlich zu machen.

Warum Paris? Wirtschaftliche Migration, politisches Exil und der Mythos Paris als "Hauptstadt des 19. Jahrhunderts"

Die Gründe für eine Auswanderung nach Paris im 19. Jahrhundert waren sehr vielfältig und von der individuellen Situation der Einzelnen abhängig. Bekannt ist Paris vor allem als Aufenthaltsort von Intellektuellen, Künstlern und Schriftstellern wie Heinrich Heine, Ludwig Börne, Karl Marx und anderen. Die französische Hauptstadt war insbesondere in den 1830er und 1840er Jahren ein Zufluchtsort für politisch Verfolgte aus den deutschen Ländern. Die Masse der deutschsprachigen Einwanderer waren aber Handwerker, Arbeiter, Tagelöhner und Dienstmädchen. Für die Handwerker und Gesellen auf der Walz stellte Paris eine wichtige Etappe dar, um ihre Kenntnisse und Erfahrungen zu erweitern. Auch zahlreiche Händler und Kaufleute zog es für einige Zeit zum Geschäftemachen an die Seine. Das hier im Blog bereits mehrfach erwähnte "Adressbuch der Deutschen in Paris von 1854", das online als Datenbank durchsucht werden kann, zeugt von den wirtschaftlichen Aktivitäten der deutschsprachigen Einwanderer.

Für ungelernte Arbeiter, Tagelöhner, Lumpensammler oder (hessische) Straßenkehrer galt Paris als Ort, wo es in der ersten Hälfte des 19. Jahrhunderts in der Industrie und während der 1860er Jahre aufgrund des Umbaus und der Stadterweiterung unter der Leitung des Architekten Eugène Haussmann mehr Arbeit gab als zur selben Zeit in Hessen, Württemberg, Bayern oder Sachsen. Die ungelernten Arbeiter sprachen zumeist kein Französisch und lernten es oftmals auch während ihres Aufenthalts nicht. Sie erfanden aber eigene Worte, wie die protestantischen und katholischen Pfarrer berichteten, die für die großen deutschsprachigen Gemeinden in Paris zuständig waren: "Die Boulevards waren für sie Bullwagen, die berühmten Champs-Elyséss die Schandliese, die Ecole de médicine die goldene Metze usw. Als Hessenpfarrer mußte man diese Ausdrücke kennen, sonst war man verraten und verkauft."1

Aus den Berichten der Pfarrer geht außerdem hervor, dass die deutschen Einwanderer oft zurückgezogen und in sehr ärmlichen Verhältnissen lebten. Mit einem Tagesverdienst von 2,5 Francs als Lumpensammler konnte man kaum genug Geld für das tägliche Leben verdienen, geschweige denn Geld zurücklegen, um mit etwas Erspartem in die Heimat zurückzukehren. Frauen und auch Kinder halfen daher oftmals mit, um das Auskommen der Familie zu sichern. Auffallend ist zudem die große Anzahl an deutschsprachigen Dienst- und Kindermädchen sowie Gouvernanten, die in den bürgerlichen und adeligen Familien in Paris für einige Jahre tätig waren2.

Entscheidende Einschnitte für die deutschsprachige Einwanderung nach Paris stellten der Deutsch-Französische Krieg von 1870/71 und der Ausbruch des Ersten Weltkriegs 1914 dar. In beiden Fällen wurden die Einwanderer ausgewiesen und mussten die französische Hauptstadt und Frankreich verlassen. Nicht alle kamen der Ausweisung nach: Vor allem ärmere Familien harrten versteckt in Paris aus, in der Hoffnung, dass der Krieg bald vorbei gehen würde. Ihre Schicksale kann man anschaulich in den Berichten des amerikanischen Botschafters in Paris, Washburne, nachlesen, der während des Krieges den Schutz der Staatsangehörigen aus Preußen und den Staaten des Norddeutschen Bundes übernommen hatte3. Manche Einwanderer sahen Frankreich längst als neue Heimat an und blieben, um auf Seiten Frankreichs zu kämpfen. Die Zahl der Einbürgerungen stieg während des Kriegs sprunghaft an. Einige Deutschen standen ebenfalls mit den Franzosen während der Pariser Kommune, dem Aufstand von 1871, auf den Barrikaden. Da während der Kommune das Pariser Stadtrathaus, das Justizministerium und andere wichtige administrative Gebäude brannten, sind zahlreiche Dokumente für die genealogische Forschung verloren.

Die schwierige Suche nach Dokumenten zu Einwanderern

Generell sind individuelle Suchen nach Einzelpersonen sehr schwierig. In der Regel tauchen Einwanderer nur in behördlichen oder kirchlichen Quellen auf, d.h. bei Geburt, Taufe, Hochzeit, bei Einbürgerungsanträgen oder im Sterbefall. Wenn sie einen kleinen Betrieb oder ein Geschäft geführt haben, können auch Unterlagen in wirtschaftlichen Registern oder Steuerregistern vorhanden sein. Generell gab es in Paris im 19. Jahrhundert mit dem "Bottin de Commerce", benannt nach seinem Begründer Sebastién Bottin, eine Art "gelbe Seiten", in denen schon seit 1789 Adressen von handwerklichen Betrieben, Kaufleuten und Geschäften gesammelt und veröffentlicht wurden. Privatpersonen sind darin jedoch nicht zu finden. Auch sind die Adressverzeichnisse - anders als das Adressbuch der Deutschen in Paris von 1854 - nicht online, sondern müssen auf Mikrofilm vor Ort im Pariser Stadtarchiv, den Archives de Paris, eingesehen werden. Telefonbücher wurden erst ab 1880 erstellt, auch diese sind bisher nicht online gestellt.

Die Adresse ist oftmals Ausgangspunkt für die weiteren Forschungen. Erst mit der Adresse kann man sich an die richtige Behörde oder die richtige Kirchengemeinde wenden. Auch für die Suche nach wirtschaftlichen Aktivitäten ist die Adresse notwendig. So gibt es im Pariser Stadtarchiv das Grundstücksregister, die sogenannten "calepins du cadastre". Dort sind die Grundrisse der Häuser in Paris eingetragen, die Namen der Bewohner und Geschäftstreibenden, welcher Teil des Gebäudes bewohnt wurde, die Miethöhe etc. Für die Forschung sind diese Unterlagen sehr interessant, sie können aber auch Privatpersonen Aufschluss darüber geben, wie die Wohnverhältnisse ihrer Vorfahren waren.

Welche offiziellen Urkunden gibt es und wo findet man sie?

Urkunden zum Personenstand

Nach einem Gesetz aus dem Jahr 1792 waren die französischen Bürgermeister verpflichtet, getrennte Personenstandsregister in doppelter Ausführung für Geburten, Hochzeiten und Todesfälle in ihrer Gemeinde anzulegen. In diesen Registern finden sich außerdem Korrekturen zu den Urkunden sowie in den Geburtsregistern Hinweise wie etwa zur Anerkennung der Vaterschaft oder ggf. zur Adoption. Auch Vermerke zu einer Scheidung wurden aufgenommen4. Die Personenstandsregister werden in Frankreich 100 Jahre in den Rathäusern aufbewahrt und sind für diese Zeit nicht öffentlich zugänglich. Privatpersonen können aber schriftlich Kopien oder Auszüge aus den Registern oder Urkunden erhalten, wenn sie mit der gesuchten Person verwandt sind. Eine Kopie (copie) enthält den gesamten Text der Urkunde, inklusive der Anmerkungen. Ein Auszug (extrait) ist dagegen nur eine nicht vollständige Fassung der Originalurkunde. Bei einer Geburtsurkunde im Auszug wird beispielsweise die Identität des Vaters nicht bekannt gegeben. Nach Ablauf der Frist von 100 Jahren werden die Register und die Kopien der Urkunden an das entsprechende Regionale Archiv oder das Stadtarchiv abgegeben. In Paris sind die Archives de Paris als Stadtarchiv für alle Arrondissements von Paris zuständig.

Personenstandsregister in den Archives de Paris

Die Suche nach einer Geburtsurkunde (acte de naissance), Heiratsurkunde (acte de marriage) oder Sterbeurkunde (acte de décès) für die Zeit vor 1902 kann im Pariser Stadtarchiv vorgenommen werden. Dabei gibt es jedoch wesentliche Einschränkungen für die Zeit vor 1860: Denn sowohl das Rathaus als auch das Justizministerium, in denen die Register und Urkunden des Personenstands bis zu ihrer Abgabe ins Archiv gelagert waren, brannten - wie bereits erwähnt - 1871 während des Kommune-Aufstands vollständig ab. Für den Zeitraum von 1860-1870 waren die Urkunden noch nicht an das Archiv übergeben, so dass diese glücklicherweise noch erhalten sind. Für die Zeit vor 1860 wurde versucht, die Unterlagen anhand der kirchlichen Register und über einen 1872 erfolgten großangelegten Aufruf an die Öffentlichkeit zu rekonstruieren. Etwa ein Drittel der Zivilstandsurkunden für die Zeit vor 1860 konnten dadurch wieder hergestellt werden5. Der Bestand enthält also sehr große Lücken, die von Arrondissement zu Arrondissement variieren. Zumeist sind nur die Sterberegister erhalten, die aber zumindest das Alter der Person, ihren Geburtsort sowie die Namen der Eltern und ggf. des Ehepartners enthalten.

Die Personenstandsregister sind unterteilt in Jahrzehnt-Übersichten (Tables decennales): 1860-1872, 1873-1882, 1883-1892, 1893-1902. Die einzelnen Register sind nach Arrondissement aufgeteilt und dann alphabetisch geordnet. Kennt man weder das genaue Geburtsdatum noch das Arrondissement, so kann man in diesen Jahrzehnt-Übersichten, die online sind, nachsehen.

archives_parisAuf der Website der Archives de Paris werden mehrere Datenbanken angeboten: Zum einen der Zugang zu den Jahrzehnt-Übersichten "Tables decennales" für die Zeit von 1860-1902, mit deren Hilfe man nach Personennamen suchen kann, wenn man das Jahrzehnt des Datums der Ausstellung der Urkunde und den Urkundentyp (Geburts-, Heirats-, Sterbeurkunde) kennt. Im Suchergebnis kann man das Digitalisat des Registers mit allen Angaben sehen.

Die zweite Datenbank enthält das Registre d'actes d'état civil (1860-1902), das man durchsucht, wenn man das Arrondissement, den Typ der Urkunde sowie ihr Ausstellungsdatum kennt. Sie führt direkt auf ein Digitalisat der Urkunde.

Eine dritte Datenbank erschließt den rekonstituierten Bestand für die Zeit vor 1860. Es gibt ein alphabetisches Register Fichiers alphabétiques de l’état civil reconstitué (XVIe siècle-1859), mit dessen Hilfe man die Archivsignatur für eine Urkunde herausfinden kann. Diese Urkunden sind ebenfalls digitalisiert und online einsehbar.

Weitere Regional- und Stadtarchive in Frankreich

Die französischen Archive digitalisieren prioritär Urkunden des Personenstands, weil sie dazu die häufigsten Anfragen bekommen. Sollte die gesuchte Urkunde nicht online sein, so können Anfragen für die Kopie einer Urkunde schriftlich per Brief oder per Mail erfolgen. Teilweise sind diese Dienstleistungen mit Kosten verbunden. Die Briefanfragen können in englischer Sprache abgefasst sein. Das Wiki zur Genealogie GenWiki bietet Musterbriefe in verschiedenen Sprachen und für unterschiedliche Archive und Behörden an. Die Beantwortung dieser Anfragen kann einige Zeit in Anspruch nehmen, in kleineren Städten geht es zumeist schneller. Letztlich ist die Bearbeitungszeit vom jeweiligen Archiv abhängig. Ich selbst habe mit dem Stadtarchiv in Straßburg sehr positive Erfahrungen gemacht: Meine Anfrage wurde in der gleichen Woche beantwortet. Eine Übersicht zum französischen Archivsystem mit weiteren Links und Erklärungen zu den Regionalarchiven in Frankreich findet sich im Beitrag "Archive in Frankreich"6

Kirchliche Urkunden

st_joseph

Blick auf die katholische Kirche "St. Joseph des Allemands" der deutschen Einwanderer, Postkarte im Privatbesitz

In Frankreich übernahm die staatliche Verwaltung bereits 1792 während der Französischen Revolution die Ausstellung der Personenstandsurkunden. Die Kirchengemeinden führten ihrerseits zwar weiterhin eigene Register. Diese hatten aber keine Funktion mehr als offizielle Dokumente. Für die genealogische Suche sind die Kirchenregister von großer Bedeutung. Insbesondere für Paris nehmen sie als Ersatz für die zerstörten Urkunden des Zeitraum von 1793-1859 eine zentrale Rolle ein. Manche Kirchenregister werden zentral aufbewahrt (siehe unten). Ansonsten muss man sich direkt an die zuständige Kirchengemeinde wenden, wozu man allerdings Wohnort und Adresse der gesuchten Person kennen muss.

Katholische Gemeinden

In jeder katholischen Kirchengemeinde wird in zweifacher Ausführung ein Register für Taufen und Heirat sowie die entsprechenden Urkunden (acte de baptême, acte de mariage) aufbewahrt. Für die Einsicht dieser Dokumente für die Zeit ab 1902 kann man sich direkt an die betreffende Gemeinde oder das katholische Diözesanarchiv wenden. Eine Übersicht zu den aktuellen Gemeinden findet sich online. Auskünfte werden jedoch nur an Familienangehörige gegeben, so dass die verwandtschaftliche Beziehung nachgewiesen werden muss. Die ehemaligen Gemeinden sind in einem Register von 1890 aufgeführt7.

Die Genealogische Gesellschaft von Utah (Mormonen) hat alle Pariser kirchlichen Register des Zeitraums von 1792 bis 1860 mikroverfilmt und in eine Datenbank übertragen, die darüber hinaus weitere Register aus der ganzen Welt enthält. Der Zugang zur Datenbank findet sich auf der Website FamilySearch.

Protestantische Gemeinden

Ein Teil der protestantischen Kirchenregister werden von der Société de l'histoire du protestantisme français aufbewahrt. Da die Register nicht vollständig sind, muss man sich unter Umständen an die zuständige Kirchgemeinde wenden, die ebenfalls ein Exemplar der Register aufbewahrt. Für die Augsburger Konfession wurden die Register der verschiedenen Pariser Kirchengemeinden seit etwa 1809 zentralisiert8.

Jüdische Gemeinden

Für die Suche nach jüdischen Vorfahren kann man sich an das Consistoire israélite de Paris wenden, das die Register der verschiedenen Pariser Synagogen enthält. Die Heiratsurkunden sind ab 1822, die Sterberegister erst ab 1880 erhalten9. Weitere Hilfestellung gibt der Cercle de Généalogie Juive10.

Einbürgerung

Wer vorhatte, sich dauerhaft in Paris niederzulassen, hat ein Einbürgerungsverfahren angestrebt. Die Voraussetzungen, um einen Antrag stellen zu dürfen - dazu gehörte beispielsweise die Dauer des Aufenthalts in Paris -, variierten im Laufe des 19. Jahrhunderts. Grundsätzlich wurden zwei Verfahren durchgeführt: die "kleine" Einbürgerung (admission à domicile), durch die man das Vererbungsrecht erwarb, einerseits. Und die umfassende Naturalisierung, die einem alle Rechte und Pflichten eines französischen Staatsbürgers übertrug, andererseits. Durch die Einbürgerung des Ehemanns erhielt die Ehefrau automatisch die französische Staatsbürgerschaft.

Die Unterlagen zu den Einbürgerungen werden im französischen Nationalarchiv, den Archives Nationales aufbewahrt. Es gibt eine Online-Datenbank, die Namen der Personen enthält, die für die Zeit bis 1853 einen Einbürgerungsantrag gestellt haben. Um eine Recherche durchzuführen, muss auf dieser Übersichtsseite zu den Datenbanken (bases de données) die Datenbank NAT ausgewählt werden. Aufgrund der Angaben in der Datenbank kann man die Einbürgerungsakte als Kopie bestellen. Wer sie vor Ort einsehen will, sollte genügend Zeit einplanen, da Bestellung und Heraussuchen der Akte etwa eine Woche in Anspruch nehmen11.

Weitere Dokumente

Hinweise zum Personenstand sind auch in Wählerlisten enthalten, die in Paris für den Zeitraum von 1848 an jedoch nur mit Lücken überliefert sind. Die Listen wurden nach Arrondissement geführt und enthalten den Namen, die Adresse, den Beruf sowie Geburtsdatum und Geburtsort. Sie werden in den Archives Nationales aufbewahrt und müssen persönlich vor Ort eingesehen werden. Viele Einwanderer wurden überwacht, so dass sich unter Umständen Dokumente im Pariser Polizeiarchiv und in den Archives Nationales (Akten des Innenministeriums) befinden können12. Ein Einwohnermeldeamt gab es nicht, Ausländer mussten sich aber auf der Polizeistation ihres Viertels melden. Da beginnt dann allerdings die Suche von vorn: Denn wenn man die Adresse und damit das entsprechende Viertel nicht kennt, kommt man hier nicht weiter.

Links zur genealogischen Forschung in Frankreich

Wie in Deutschland u.a. mit Ahnenforschung.net gibt es auch in Frankreich eine große genealogisch interessierte Community, die sehr gut organisiert ist und Hilfestellung bietet. Zwei Adressen seien abschließend genannt, die bei der Suche weiterhelfen können: Ein umfassendes Informationsangebot für die genealogische Suche in Frankreich findet man im Guide Généalogie. Dort gibt es insbesondere Hilfestellung zur persönlichen Ahnenforschung: Methoden, Quellen, Archive, weiterführende Adressen und Internetseiten zum Thema. Daneben gibt es die Bibliothèque Généalogique, die Website eines privaten Forschungszentrums zur Sozialgeschichte. Auf der rechten Seite sind vier Datenbanken zu finden:  Die "Cartes de Sûreté à Paris", kirchliche Geburtsregister (Registres Paroissiaux Naissances) kirchliche Heiratsregister (Registres Paroissiaux Mariage), kirchliche Sterberegister (Registres Paroissiaux Décès) sowie Häftlingsregister (Registres de Bagnards). Das Angebot ist teilweise kostenpflichtig bzw. setzt einen Leseausweis der Bibliothek voraus.

Viel Erfolg bei der Suche!

____

Literatur

Sur les traces de vos ancêtres à Paris: la recherche des origines. Guide de recherches biographiques et généalogiques aux Archives de Paris, Paris (Archives de Paris) 1997, ISBN 2-86075-008-8.

  1. Pfarrer Frisius: In Paris während der Monate Juli und August 1870. Erinnerungen eines deutschen Pfarrers, in: Evangelisches Gemeindeblatt München No. 9 1914, S. 136-140, hier S. 136.
  2. Vgl. dazu auch Mareike König, »Bonnes à tout faire«: Deutsche Dienstmädchen in Paris im 19. Jahrhundert, in: Dies. (Hg.), Deutsche Handwerker, Arbeiter und Dienstmädchen in Paris. Eine vergessene Migration im 19. Jahrhundert, München 2003 (Pariser Historische Studien, 66), S. 69–92. Online unter: http://www.perspectivia.net/content/publikationen/phs/koenig_handwerker/koenig_bonnes
  3. Vgl. Der Schutz der Deutschen in Frankreich 1870 und 1871. Briefwechsel des außerordentlichen Gesandten und bevollmächtiten Minister der Vereinigten Staaten für Frankreich, E.B. Washburne in Paris vom 17. Juli 1870 bis zum 29. Jun i1871, hg. von Adolf Hepner, Stuttgart 1907.
  4. In Frankreich war die Scheidung mit Gesetz vom 20. September 1792 an erlaubt, wurde 1816 wieder verboten und mit Gesetz vom 27. Juli 1884 erneut ermöglicht.
  5. Eine zweite Initiative zur Wiederherstellung der zerstörten Urkunden erfolgte in den 1940er und 1950er Jahren, und noch immer erhält das Stadtarchiv Kopien aus privater Hand.
  6. Florence de Peyronnet-Dryden, Matthias Nuding, Archive in Frankreich, in: Falk Bretschneider, Mareike König, Pierre Monnet (Hg.), Geschichte machen in Frankreich. Ein Wegweiser für Studium, Forschung und Karriere, Revue de l'Institut francais d'histoire en Allemagne, 10 (2014), http://ifha.revues.org/7830.
  7. Fabrique et consistoires de la ville de Paris. Circonscriptions des paroisses... avec dictionnaire des rues et plan, Paris 1890.
  8. Die Adresse lautet: Église évangélique luthérienne de France, Inspection de Paris, 16 rue Chauchat, 75009 Paris, Frankreich
  9. Die Adresse des Consistoire lautet: 17, rue Saint-Georges, 75009 Paris
  10. Die Adresse des Cercle de Généalogie Juive lautet: 14, rue Saint-Lazare, 75009 Paris
  11. Weitere Informationen zur den Naturalisierungsakten finden sich auf den Unterseiten der Website der Archives Nationales.
  12. Zum Pariser Polizeiarchiv siehe den Beitrag von Jürgen Finger, Kleiner Archivführer 3: Les Archives de la Préfecture de Police, in: Moral Economy, 15.10.2014, http://moraleconomy.hypotheses.org/68.

Quelle: http://19jhdhip.hypotheses.org/2097

Weiterlesen

DH-Videoclip Adventskalender – Tür 16

Tür 16 eröffnet einen Blick über den großen Teich, genauer nach Baltimore, Maryland an die Johns Hopkins University, wo die Bibliothek als Infrasturktureinrichtung mit einem neuen Bibliothekskonzept Forschende und Studierende der Digital Humanities zu unterstützen versucht.

Winston Tabb, the Sheridan Dean of University Libraries and Museums, shares information about the new Johns Hopkins University center for the digital humanities, the Athenaeum. The name alludes to history, but this initiative embraces the future, helping foster a community of scholars, crossing disciplines, and sharing knowledge with the world. (Quelle: http://youtu.be/0H7Uxt-5cxg)

Quelle: http://dhd-blog.org/?p=4494

Weiterlesen

„Warum sehen wir Tiere an?“

LP_Dion_Collector_300

Mark Dion: The Tar Museum - Collector, 2006
Foto: Achim Kukulies, © KAI10/Arthena Foundation

Diese Frage stellt John Berger in Das Leben der Bilder oder die Kunst des Sehens[1] und verweist darauf, dass wir nirgendwo Tiere sehen, obwohl wir überall dem Tier als Motiv ausgesetzt sind. Das Tier ist – so Berger – die erste Metapher für das Verhältnis zwischen Mensch und Tier, weil ihre Beziehung eine Metaphorische ist. Die Begegnung von tierischem und menschlichem Blick konstituiert erst Differenz und Gemeinsamkeit. Mit der Düsseldorfer Ausstellung Lost Paradise greifen die Kuratoren Zdenek Felix und Ludwig Seyfarth das duale Verhältnis zwischen Mensch und Tier auf und stellen in KAI 10 fünf Positionen zeitgenössischer Kunst zum Thema vor. Im Folgenden widmen wir uns drei Exponaten, die uns besonders relevant für das Tier-Mensch-Verhältnis erscheinen.

I.

In Stefan Panhans' Video If A Store Clerk Gave Me too Much Change sehen wir einen Menschen in einem Schlafsack liegen. Also kein Tier. Was wir aber entschlüsseln können, ist der Verweis auf den Kokon oder die Raupe. Das Verhältnis von Metapher und Tier wird hier auf den Kopf gestellt. Das Tier wird doppelt metaphorisch: Zuerst, indem es als Nicht-Anwesendes durch die Konfiguration der Ausstellung und durch die Inszenierung im Film zitiert wird. Denn das, was wir sehen ist eine Metapher, die auf das Tier verweist. Gleichzeitig ist es das Tier, das das Sichtbare zum Sprechen bringt, in dem es das Werk mit Bedeutung auflädt. Das Tier als Metapher. Es ist abwesend und anwesend zugleich.

Panhans_storeclerk_still_1

Stefan Panhans: If A Store Clerk Gave Me too Much Change, 2009
Filmstill, © KAI10/Arthen Foundation

In dem Text, den die Person im Schlafsack aufsagt, geht es um die Perfektionierung des Selbst, die Selbstoptimierung und die Ausschöpfung der Möglichkeiten in Zeiten des Kapitalismus. Er scheint durch die Person hindurchzufließen. Die eingeschränkte Beweglichkeit im Schlafsack verstärkt diesen Eindruck. So wie der Text durch die Bewegungslosigkeit der Person fließt, fließt er auch durch die Tiermetapher. An dieser Stelle zeigt sich, wie der Zuschauer selbst zum Bezugspunkt wird. Durch die Konfrontation mit dieser doppelten Distanzierung von Bewegungslosigkeit und Tier-Werden sehen wir uns in dieser Situation auf zwei Ebenen hinterfragt: Unterliege ich diesem mir vorgeführten Optimierungszwang? Und: Warum kann ich dort ein Tier sehen?

II.

LP_Installationsansicht_Volkova_Shevelenko_300

Marta Volkova & Slava Shevelenko: From The Life Of The Beetles
Foto: Achim Kuklies, © KAI10/Arthena Foundation

Die neue Gattung transformativer Käfer, die Marta Volkova und Slava Shevelenko uns in ihrer Arbeit From The Life Of The Beetles vorstellen, ist wunderbar bunt. Es scheint, als hätten wir es hier mit Tieren zu tun. Doch wie wir sehen, sind diese Tiere kleine Keramikplastiken, die gleichsam Hybride darstellen: Sie haben die Fähigkeit der Aneignung perfektioniert. Wir sehen die Dokumentation Gegenstand-Werdens. Diese Ding-Käfer sind deshalb so interessant, weil sie den Menschen ausschließen. Ihre Verwandlungsfähigkeit ist völlig unabhängig vom Menschen. Sie reproduzieren zwar die von Menschen geschaffenen Gegenstände, wirken demnach wie ein Speichermedium, treten aber dadurch erst in ihrer Form ins Leben. Sie stellen eine Symbiose von Tier und Ding dar. Nur noch als stiller Sammler kann der Mensch dieser Kunst habhaft werden. Und vielleicht sagt gerade das sehr viel über das Tier-Mensch-Verhältnis aus.

III.

LP_Zink_Yi_Archetheutis_300_2

David Zink Yi: Untitled (Architeuthis) (ref 1), 2013
Foto: Achim Kukulies, © KAI10/Arthena Foundation

David Zink Yis Riesenkalmar (Untitled (Architeuthis) (ref 1)) liegt ausgelaufen auf dem weißen Boden des Ausstellungsraums. Ein totes Tier. Den Lebenshauch, die Tinte wie Blut vergossen und ausgepumpt. Von Ferne spielt dieses Tier auf Victor Hugos Illustration Kampf mit dem Tintenfisch an. Hugos Tintenfisch, kampfbereit die Tinte versprühend, sich einnebelnd gleichsam die Initialen des Autors mit den Armen formend, scheint auf den Schreibprozess und den Kampf mit dem Wort, mit dem Zeichen zu verweisen. Unser Tintenfisch, der kein Tintenfisch ist, sondern der unsichtbare Riesenkalmar, das Monster der Tiefsee, das hier tot auf dem Boden drapiert liegt, ist natürlich kein echtes Tier. Die Präsenz, die der tote Körper ausstrahlt, und die Tinte, die er vergossen hat, sind überaus verstörend und es wirkt, als habe sich das Leben über den Fußboden verteilt. Was bleibt ist die leere Hülle, eine Metapher ohne Bedeutung, ein Rest: das Tier.

Scheinbar können wir, wenn wir uns Tiere anschauen, nur schwer Tiere sehen, obwohl wir in allem und jedem plötzlich Tiere sehen. In einem Menschen in einem Schlafsack, in Keramikfiguren, die zu krabbeln anfangen, wenn sie wie Käfer drapiert sind und in einem Riesenkalmar aus Ton, der leblos auf dem Boden liegt. Wir sehen nicht die Materialien, wir sehen in erster Linie Bilder und Tiere als Bilder. Die Metapher von der Metapher.

Am nächsten sind wir dem Tier als totes Tier gekommen. Auch hier ist es eine andere Materie, geformt zu dem, was sie darstellen soll. Aber von ihr geht dennoch etwas Tierisches aus. Etwas, das wir als das Andere, den Gegensatz zum Menschen wahrnehmen. Eine starke Grenze, eine Dichotomie von Mensch und Tier, die so schwer zu überwinden ist. Wir werden vom Tintenfleck abgehalten zum Leichnam vorzudringen – wir erreichen das Tier nicht. Der verfranzte Ölfleck kann nicht überschritten werden, um Kontakt aufzunehmen.

Immer scheinen wir im geschlossenen Reflexionszirkel auf uns selbst zurückzukommen. Doch das Besondere ist, dass Tiere einen bestimmten Reflexionsmodus provozieren. Ein Infragestellen des Menschseins, ein Infragestellen der Natur-Kultur-Differenz. So wie der tote Kalmar eine Provokation ist – nicht nur, weil er tot ist, sondern, weil er ein Monster, das Andere, das Tier ist –, so verstehen wir vielleicht, welche Provokation der Mensch selbst ist. Für sich und seine Umwelt. Wenn er die Grenzen zieht. Denn auch das tote Tier blickt uns an.

Martin Bartelmus & Linda Walther

Ausstellung: Lost Paradise, KAI 10 (bis 21.02.15)
Künstlergespräch: 15.01.15, 19 Uhr
Finissage+Kuratorenführung+Katalogpräsentation: 21.02.15, 15-17 Uhr

[1]    Berger, John: Das Leben der Bilder oder die Kunst des Sehens, Berlin 1995, S. 12.

 

Quelle: http://grk1678.hypotheses.org/290

Weiterlesen

Einladung zum 5. Berliner DH-Rundgang

Der Interdisziplinäre Forschungsverbund Digital Humanities in Berlin (ifDHb) lädt zum 5. Berliner DH-Rundgang ein. Gastgeber ist das Jacob-und-Wilhelm-Grimm-Zentrum der Humboldt-Universität zu Berlin.

Termin: Mittwoch, 28. Januar 2015, 17:00-18:30 Uhr
Ort: Jakob-und-Wilhelm-Grimm-Zentrum, Universitätsbibliothek und Mediathek des Instituts für Kunst- und Bildgeschichte der Humboldt-Universität zu Berlin, Geschwister-Scholl-Straße 1/3, 10117 Berlin

Bibliotheken sind längst nicht mehr nur Orte zur Aufbewahrung und Bereitstellung von Büchern und ihrer Findmittel. Sie sind Wissensspeicher in vielerlei Dimensionen. Insbesondere die digitalen Formate und die Vernetzung haben auch hier zu einem durchgreifenden Wandel geführt.

Seit der Eröffnung des Grimm-Zentrums besitzt die Humboldt-Universität eine moderne Bibliothek für die geisteswissenschaftlichen Fächer mit großem Freihandbereich und einem Forschungslesesaal für die Sondersammlungen. Hinzu kommt die damals vollzogene Integration der Mediathek des Instituts für Kunst- und Bildgeschichte (IKB) mit ihren Bildsammlungen und Datenbanken sowie die enge Verzahnung mit dem Computer- und Medien-Service, der ebenfalls im Gebäude untergebracht ist. Das Angebot richtet sich dabei an ein vielgestaltiges Publikum, von den Studierenden eines breiten Fächerspektrums über die forschenden Mitarbeiter der Universität bis hin zur interessierten Öffentlichkeit.

Wie gehen die Bibliothek und ihre Partner im Grimm-Zentrum mit diesem komplexen Aufgabenspektrum im Hinblick auf den Einsatz digitaler Formate um? Welche Aktivitäten finden derzeit zum Ausbau des Angebots statt? Wie begegnet man den Anforderungen, sowohl für eine forschungsbezogene Anwendbarkeit als auch für eine langfristige Verfügbarkeit der digitalen Angebote zu sorgen?

Der DH-Rundgang möchte diese Fragen anhand von drei Schwerpunktbereichen – Digitalisierung, digitale Bildwerkzeuge, enhanced publications – ansprechen und diskutieren.

Programm

  • Begrüßung (Prof. Dr. Andreas Degkwitz, Bibliotheksleitung)
  • Digitalisierung der Grimm-Bibliothek (Dr. Yong-Mi Rauch, Sondersammlungen der UB)
  • Von der Bilddatenbank zu digitalen Bildwerkzeugen und Forschungsumgebungen (Dr. Georg Schelbert, Mediathek [UB/IKB])
  • Wissenschaftliches Publizieren – enhanced Publication (Niels Fromm, CMS AG Elektronisches Publizieren; Michael Kleineberg, Projekt Fu-Push)

Die Teilnahme ist kostenlos, wir bitten jedoch um eine verbindliche Anmeldung. Die Teilnehmerzahl ist beschränkt.

Die nächsten Berliner DH-Rundgang-Termine:

  • 20. Februar 2015, 10:00-11:30 Uhr: Hochschule für Technik und Wirtschaft (HTW) / Fachbereich Gestaltung
  • 25. März 2015, 16:00-17:30 Uhr: Koordinierungsstelle für wissenschaftliche Universitätssammlungen in Deutschland
  • April 2015: Deutsches Archäologisches Institut (DAI)
  • Mai 2015: Alexander von Humboldt Institut für Internet und Gesellschaft (HIIG)
  • Juni 2015: Freie Universität Berlin / Institut für Informatik / AG Netzbasierte Informationssysteme

Sie wollen auch zu einem Berliner DH-Rundgang einladen? Dann schreiben Sie uns bitte eine kurze E-Mail an info@ifdhberlin.de oder nehmen Sie telefonisch Kontakt zu uns auf.

Weitere Informationen finden Sie auf der Website: http://www.ifdhberlin.de/arbeitsfelder/dh-rundgang/.

Quelle: http://dhd-blog.org/?p=4508

Weiterlesen