Die Ergebnisse angewandter Selbstkontrolle der Computerspielewirtschaft

Die c’t behandelt in ihrer Ausgabe vom 25.3.2013 die Problematik der Umsonst-Spiele, die zurzeit besonders auf dem Smartphone kräftig boomen. Kennzeichen dieser Spiele ist, dass sie zunächst gratis gespielt werden können und erst nach einer Weile den Einsatz von Geld verlangen. Der Zeitraum “nach einer Weile” ist hier entscheidend, weil viel Erfahrung und Wissen in die Festlegung des richtigen Zeitraums fließen. Er darf weder zu kurz noch zu lang sein, weil sonst der Spieler vorschnell abspringt. Man merke, dass das nichts mit Spielspaß zu tun hat, sondern mit knallharter Kalkulation. Spieler können gewiss sein: Ihre Klicks finden die entsprechende Beachtung des jeweiligen Spieleherstellers.

Ist ein Spieler bereit, für das Weiterspielen zu bezahlen, sind das immer Kleinbeträge, die sich aber schließlich summieren. Diese Spiele sind bewusst so gestaltet, dass der Überblick über die bezahlten Beträge leicht verloren geht. Billiger sind die anfänglichen Gratisspiele gegenüber gekauften Spielen nicht. Die Möglichkeit der Kostenkontrolle über den Einsatz von Kredit- und Prepaid-Karten wird von den Spieleanbietern dadurch ausgehebelt, dass sie die Beträge von der Telefonrechnung abbuchen. Diese Bezahlvariante kann ganz leicht aktiviert werden, indem der Kunde eine Telefonnummer wählt oder eine SMS verschickt. Das ist so leicht, das können auch Kinder.

Da wundert es nicht, dass bald auf dem Smartphone oder Tablet auch um richtiges Geld gespielt werden wird. Als Beispiel nennt die c’t das Spiel Farmville in Großbritannien. Außerdem haben namhafte Spieleanbieter bereits Glücksspiellizenzen erworben. Bingo!

Wird uns das in Deutschland auch betreffen, wo wir doch die USK haben, die freiwillige Selbstkontrolle der Computerspielewirtschaft? Nicht nur, dass es sich hier um eine Selbstkontrolle handelt (ha, ha), auch ist die USK in ihren Leitkriterien der Auffassung, es sei umstritten, dass Spiele über Merkmale verfügten, die ein “pathologisches, als süchtig zu kennzeichnendes Spieleverhalten” fördern sollen (sh. Fußnote Nr. 5 in diesem Dokument). Ich empfehle der USK mal bei Mark Griffiths nachzulesen. Griffiths ist Psychologe und forscht über das Spielen.

Von einer unabhängigen Aufsicht könnte man eine verantwortungsvollere Haltung zu Spielen erwarten, aber von einer freiwilligen Selbstkontrolle? Da lachen ja die Hühner! Würde dieses Prinzip funktionieren, bräuchten wir keine Kontrollorgane wie Polizei, Steuerfahnder, Lebensmittel- und Fahrscheinkontrolleure.

Schade ist, dass Spiele und insbesondere Computerspiele auf diese Weise immer weiter in Verruf geraten. Oder was assoziieren Sie, wenn Ihnen jemand erzählt, sie/er würde auf dem Computer spielen, womöglich noch regelmäßig? Auf jeden Fall sollten Sie nicht zur freiwilligen Selbstkontrolle raten, es sei denn, sie wollen einen Witz machen.

Feibel, Thomas: Zum Zocken verführt, in: c’t 8 (25.03.2013), S. 82-89

Quelle: http://games.hypotheses.org/992

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durchsichten: Transstaatliche Verfassungsgeschichte suprastaatlicher Organisationen – Erweiterung statt Alternative [26.02.2013]

http://www.lisa.gerda-henkel-stiftung.de/content.php?nav_id=4163 Der 2010 am Historischen Seminar der LMU München gehaltene Vortrag skizziert am Beispiel des Deutschen Bundes den Mehrwert einer transstaatlichen Verfassungsgeschichte bei der Betrachtung suprastaatlicher Organisationen. Er führt aus, wie eine Erweiterung um eine ‘Trans-Sichtweise’ bei gleichzeitiger Trennung mit verwandten Konzepten neue Erkenntnisse zu Tage fördert.

Quelle: http://www.einsichten-online.de/2013/03/4008/

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aussichten Nr. 34 [28.03.2012]: Neue Einträge bei aussichten-online.net; Digest 01.03.2013-28.03.2013

Drucksachen und Plenarprotokolle des Bundestages http://www.aussichten-online.net/2013/03/3601/ Andreas C. Hofmann 5:48pm Mar 2 Drucksachen und Plenarprotokolle des Bundestages – 1949 bis 2005 In diesem elektronischen Archiv können sämtliche Drucksachen und Stenografischen Berichte des Deutschen Bundestages von der 1. bis zur 15. Wahlperiode recherchiert und im pdf-Format abgerufen werden. Die Dokumente sind mit ihrem jeweiligen Aktenzeichen oder […]

Quelle: http://www.einsichten-online.de/2013/03/4004/

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Multiples vies paratextuelles: Vitruve, De Architectura

Un exemple de culture écrite tout à fait spectaculaire nous montrant l’importance de l’annotation est le cas de Vitruve ou plus précisément la tradition de son texte pivot sur l’architecture (“De Architectura”), le traité central pour notre connaissance des techniques architecturales de l’Antiquité classique. L’histoire de la tradition de ce texte est longue et paradigmatique, elle retrace la transmission d’une œuvre écrite sur plus de 2000 ans. La recherche contemporaine est riche en ce qui concerne la documentation de la filiation des témoins textuels (manuscrits et imprimés). Entretemps, certains outils numériques facilitent l’accès à ces sources, même si il manque encore un portail regroupant la recherche vitruvienne et l’ensemble de ses sources primaires. En outre, sur les sites existants, pas tous les exemplaires digitaux sont de bonne qualité et donc appropriés aux sortes de questions qui préoccupent une philologue et historienne du livre.

Vitruve, De architectura, BL London Harley 2767, fol. 16v

Vitruve, De architectura, BL London Harley 2767, fol. 16v

Sous cette approche, l’aspect fondamental de la transmission médiale et matérielle de ce texte mérite l’attention, elle dévoile, ce que j’aimerais appeler, des multiples vies. Bien sûr, nous ne possédons pas l’original du texte, et ce manque semble aussi être une chance inouïe. A travers l’histoire complexe des filiations textuelles, nous voyons les nombreuses copies et éditions essayant d’établir une sorte de dialogue avec un texte source virtuel et en quelque sorte aussi le transcender. Par exemple, nous savons grâce au texte retransmis que le traité contenait des illustrations (dont une, une rose des vents semble s’être perpétuée), mais celles-ci restent perdues … et ces images fantômes, alliées au texte existant, engendreront la fantaisie et l’impulsion créatrice de générations ultérieures de scribes et lecteurs, savants comme hommes du métier, les architectes.

Oxford BL, Auct. F.5.7 (Exemplaire de Pétrarque)

Oxford BL, Auct. F.5.7 (Exemplaire de Pétrarque)

Nous notons la transformation matérielle à travers les temps. Ecrit sur des rouleaux de papyrus vers les années 33 à 22 av. J.C., nous retrouvons le traité de Vitruve à l’époque carolingienne sur parchemin dans le fameux manuscrit MS Harleianus 2767, probablement commandité par Charlemagne et qui représente la plus ancienne copie existante de notre texte. Le traité n’est donc pas tout à fait inconnu au Moyen Âge. Il sera surtout mis en mire de façon plus intensive par les humanistes italiens, notamment Boccace et Pétrarque. De ce dernier nous avons un manuscrit annoté de sa propre main (vers 1350), aujourd’hui conservé à la Bodleian Library à Oxford. Une réception profonde du texte débuta avec l’humaniste florentin Poggio Bracciolini, qui découvrit en 1416 un exemplaire du texte dans la fameuse bibliothèque de St. Galle, en Suisse.  Et, bien-sûr, ce sera l’époque de la Renaissance où le texte jouera un rôle éminent, notamment en Italie aux 15e et 16e siècles, et aussi encore plus tard au 17e (par exemple sous Louis XIV avec la grande édition illustrée et traduction de Claude Perrault en 1673). En Italie, tous les grands noms de l’architecture se retrouvèrent en contact avec et autour de ce texte canonique, donnant un accès à l’art de construire de l’antiquité classique et apportant beaucoup d’énigmes aussi: Alberti, Bramante, Cesare Cesariano, Raphael, Antonio da Sangallo le jeune et Leonardo da Vinci pour en nommer que quelques-uns. Plusieurs d’entre eux essayèrent de traduire le texte ou de le faire traduire en italien (et l’illustrer), comme Cesariano, Raphael ou Antonio da Sangallo.

Vitruve, édition de Giovanni Sulpizio da Veroli, Rome: s.a. [ca. 1486],

Vitruve, édition de Giovanni Sulpizio da Veroli, Rome: s.a. [ca. 1486],

Avec l’apparition de l’imprimerie vers le milieu du 15e siècle une autre forme de matérialité de la transmission du savoir et de la diffusion des idées émergera, avec un autre support (le papier), une nouvelle vélocité et moins onéreuse que le parchemin écrit à la main. Il ne surprend donc pas que le texte de Vitruve soit lui aussi rapidement arrivé dans les officines, et cela peu après le début de cette invention. Comme avec beaucoup d’autres écrits, une comparaison avec la Bible ne serait pas exagérée, c’est grâce à l’imprimerie que les Dix livres d’architecture vitruviens vont pouvoir se répandre comme un feu à travers l’Europe, ouvrant ainsi le texte pour des couches de lecteurs diversifiées, dont aussi les architectes, loin du monde plutôt fermé des savants et hommes de lettres.

Une première édition sera éditée par Giovanni Sulpizio da Veroli et publiée à Rome vers 1486 (l’identité de l’imprimeur est incertaine). Cette édition est un point charnière en ce qui concerne l’histoire de la transmission du texte de Vitruve dans le cadre du changement médiatique et aussi pour l’étude paratextuelle: je la qualifierai de seuil, un objet délibérément non clos, faisant une offre, une proposition à ses lecteurs et dont l’éditeur est conscient des limites et des fautes. La mise en page est toute dans la tradition du livre médiéval, laissant de larges marges – et ceci délibérément comme le révèle Sulpizio dans sa lettre au lecteur. Il explique qu’il a laissé de larges marges et de la place libre pour que des lecteurs plus compétents que lui puissent y faire leurs ajouts et corrections et bien sûr aussi y ajouter les illustrations lorsqu’il y en aura. Voici donc un support où texte et paratextes sont conçus comme compléments, et les lecteurs sont appelés à se joindre à un effort collaboratif de la reconstruction du texte original et aussi à en faire son exégèse.

Vitruve, édition de Giovanni Sulpizio da Veroli, Rome: s.a. [ca. 1486], Ms Corsini 50. F.1, (Exemplaire de Giovanni Battista da Sangallo)

Vitruve, édition de Giovanni Sulpizio da Veroli, Rome: s.a. [ca. 1486], Ms Corsini 50. F.1, (Exemplaire de Giovanni Battista da Sangallo)

Une des copies de ce texte tombera sur un sol propice: dans les mains de Giovanni Battista da Sangallo, dit il Gobbo ‘le bossu’ (1496–1548), qui en fera un usage intensif, étalé sur plus de vingt ans d’utilisation – Sangallo y introduira des feuillets supplémentaires destinés à recueillir ses notes et dessins. Je ne peux ici aller dans les détails, mais nous y trouvons toutes sortes de variantes paratextuelles : l’ajout des titres des livres pour s’y retrouver dans cette incunable non paginée, des corrections de textes, des traces du travail de décodage du texte entrepris par un lecteur ne maitrisant pas vraiment le latin classique, des essais de traduction et bien sur des dessins, beaucoup de dessins – nous y trouvons des gloses textuelles et figuratives, et aussi parfois des mésinterprétations, ainsi que des remarques du lecteur sur ses propres annotations et dessins (“non sta bene”, “questo mi piace”). piace”). Malheureusement ce codex n’est pas (encore) accessible en ligne, mais seulement sous forme d’un facsimile imprimé.

Sans les notes de ce lecteur attentif – et sans les notes et traces dans les autres manuscrits et imprimés vitruviens de l’époque– nous saurions beaucoup moins sur la conception de l’architecture de l’Antiquité par les artistes et architectes de la Renaissance, une conception qui va aussi influencer leur façon de bâtir et concevoir l’architecture. L’impact vitruvien est tangible non seulement à travers l’histoire de transmission de son texte, mais aussi dans le travail concret des architectes de l’époque. Vitruve y laisse ses traces, par exemple aussi dans les croquis des artistes et architectes et les paratextes qu’ils y insèrent. Ainsi, un autre Sangallo, Antonio da Sangallo le jeune (le frère de Giovanni Battista), note à côté d’une de ses ébauches pour un portail ionique: “Non sta bene fu delle prime io facesse / non avea anchora inteso vitruvio / bene” (“Ce n’est pas bien, c’était un des premiers que j’ai faits; je n’avais pas encore bien compris Vitruve”).[i]
En fait ce serait un très beau projet de recherche interdisciplinaire d’étudier la réception de l’architecture à la Renaissance et à l’époque baroque bar le biais des inscriptions paratextuelles et autres traces laissés par les lecteurs dans les traités et dessins d’architecture, une idée que j’aimerais approfondir lors de ma conférence ce soir à Paris à l’EPHE/INHA.

Littérature (un petit choix)

Frédérique Lemerle – Yves Pauwels, Portail Architectura. Architecture, Textes, Images. XVIe et XVIIe siècles, Centre d’études supérieures de la Renaissance, Tours (http://architectura.cesr.univ-tours.fr/)

Claudine Moulin, Fascinating Margins. Towards a Cultural History of Annotation (02/2013, http://annotatio.hypotheses.org/93)

Vitruvius Pollio, Ten Books on Architecture: The Corsini Incunabulum with the annotations and autograph drawings of Giovanni Battista da Sangallo. Edited, with an introductory essay, by Ingrid D. Rowland , Rome: Edizioni dell’Elefante, 2003 (avec une introduction qui donne un aperçu sur les contextes historiques et une courte édtion des annotations)

et … merci à Georg Schelbert (@schelbertgeorg) et à sa profonde connaissance de l’oeuvre de la famille Sangallo.

[i] Il s’agit d’un dessin datant environ de 1527 qu’Antonio avait érigé dans les années 1510 (Florence, Gabinetto dei Disegni e Stampe dei Uffizi 989 recto); le portail ionique est décrit chez Vitruve dans le quatrième livre (IV, 6, 3–4).

Quelle: http://annotatio.hypotheses.org/222

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Konferenz: Wassermühlen und Wassernutzung im mittelalterlichen Ostmitteleuropa (12.-13.4.13, Leipzig)

Die Nutzung des Wassers ist ein Forschungsbereich, der zwar häufig, aber oft in regional oder thematisch begrenzter Perspektive bearbeitet wurde. Mit dieser Tagung sollen diese Begrenzungen aufgebrochen werden. Hierbei steht ganz Ostmitteleuropa zur Diskussion. Eine Charakterisierung dieser Großregion wird durch einige das westliche Mitteleuropa betreffende Beiträge vertieft.

Im Rahmen dieser Tagung sollen Forschungsergebnisse des Projektes „Usus aquarum“ in einem Kreis ausgewiesener Fachwissenschaftler zur Diskussion gestellt werden.

Šerlink-Schiffsmühlen in der Prager Neustadt im Jahre 1610 (Detail), (Archiv der Hauptstadt Prag, Handschriftensammlung, Sign. 3469, Fol. 12r)

Šerlink-Schiffsmühlen in der Prager Neustadt im Jahre 1610 (Detail), (Archiv der Hauptstadt Prag, Handschriftensammlung, Sign. 3469, Fol. 12r)

Veranstaltungsort:
GWZO, Specks Hof (Eingang A), 4. Etage, Reichsstraße 4, 04109 Leipzig

Veranstalter/Organisation:
PhDr. Martina Maříková (GWZO – Projektgruppe Usus aquarum) E-Mail: martina.marikova@uni-leipzig.de
Dr. Christian Zschieschang (GWZO – Projektgruppe Usus aquarum) E-Mail: zschie@rz.uni-leipzig.de

www.uni-leipzig.de/gwzo; In Zusammenarbeit mit dem Arbeitskreis Mühlen Sachsen-Anhalt e.V. (in der Deutschen Gesellschaft für Mühlenkunde und Mühlenerhaltung e.V.)

Tagungsprogramm

FREITAG, 12. APRIL 2013

Wassernutzung im Mittelalter

9:00 – 9:30:

Begrüßung Christian Lübke (Direktor des GWZO, Leipzig); Einführung in das Tagungsprogramm Matthias Hardt (GWZO, Leipzig)

9:30 – 10:00

Perception of Rivers and Other Water Streams in the Czech Middle Ages
Tomáš Klimek (Nationalbibliothek, Prag)

10:00 – 10:30

Inland Navigation in Transylvania (based on medieval charters and late medieval official reports)
Oana Toda (Babeş-Bolyai University, Cluj-Napoca)

10:30 – 11:00

Die Elbe als Wirtschaftsfaktor im nordwestlichen Böhmen
Nadine Sohr (Leipzig)

11:00 – 11:30 Pause

11:30 – 12:00

Alles hängt vom Wetter ab. Voraussage der Witterung in lateinischen Quellen des Mittelalters
Barbora Kocánová (Tschechische Akademie der Wissenschaften, Prag)

12:00 – 12:30

Wasserwirtschaft des Klosters Broda
Matthias Hardt (GWZO, Leipzig)

12:30 – 13:00

An Attempt at an Outline of the Historical Development of Water Supply and Sewerage of Medieval Settlements in the

Czech Lands in the Middle Ages
Kryštof Drnek und Jaroslav Jásek (Karls-Universität, Prag / Museum der Wasserversorgung in Prag)

13:00 – 14:30 Pause

Mühlen in Landschaft, Wirtschaft und Wahrnehmung

14:30 – 15:00

Die Verbreitung der Wassermühle im frühmittelalterlichen Mitteleuropa
Thomas Kind (Goethe-Universität Frankfurt am Main)

15:00 – 15:30

Die Bedeutung der Wassermühle für die zisterziensische Klostergemeinschaft
Winfried Schich (Humboldt-Universität, Berlin)

15:30 – 16:00

Mühlen, Dämme und Flutarchen – Die Nutzung von Wasserwegen im Spreewald im 15. und 16. Jahrhundert
Sascha Bütow (Universität Potsdam)

16:00 – 16:30 Pause

16:30 – 17:00

Namen der Wassermühlen in Schlesien
Stanisława Sochacka (Instytut Śląski, Opole)

17:00 – 17:30

Schlesische Orts- und Flurnamen mit dem Glied Mühle/mlyn
Monika Choroś und Łucja Jarczak (Instytut Śląski, Opole)

17:30 –18:00

Zur Benennung von Mühlen im Mittelalter
Christian Zschieschang (GWZO, Leipzig)

18:30 – 19:30

Führung durch die Wassermühle Dölitz

19:30

Gemeinsames Abendessen im Restaurant Spreewaldschänke (Im Dölitzer Holz 7)

GWZO-Mühlenkonferenz2

Der vom Lucní-Bach abzweigende Mühlgraben beim Dorf Zubrnice (Bez. Ústí nad Labem, Nordböhmen) [Foto: L. Galusová]

SAMSTAG, 13. APRIL 2013

Sachrelikte mittelalterlicher Mühlen

9:00 – 9:30

Verbreitung und Technik der hochmittelalterlichen Mühle aus archäologischer Sicht
Gerson H. Jeute (Universität Bremen)

9:30 – 10:00

Stoahackher im bayerischen Inntal. Eine Studie zu Mühlsteinbrüchen vom 8.–20. Jahrhundert
Wolfgang Czysz (Bayer. Landesamt für Denkmalpflege, Thierhaupten)

10:00 – 10:15 Pause

10:15 – 10:45

Mühlen im Befund – Archäologische Erscheinungsformen und Nachweismöglichkeiten von Wassermühlen
Jens Berthold (Kommunalarchäologie Schaumburger Landschaft, Bückeburg)

10:45 – 11:15

Die Baugestalt der mittelalterlichen Wassermühlen in Böhmen und Mähren
Lucie Galusová und Martina Maříková (GWZO, Leipzig)

11:15 – 11:45

Schlussdiskussion

11:45 – 12:15 Pause

12:30

Abfahrt zur Exkursion zu Mühlen in und um Freyburg (Unstrut) und Eckartsberga

18:00

Ankunft in Leipzig

Quelle: http://mittelalter.hypotheses.org/767

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Tagungsbericht: Neue Forschungen zu sächsischen Klöstern. Ergebnisse und Perspektiven, Pirna, 26.-27.10.2012

Am 26. und 27. Oktober 2012 fand in Pirna (Sachsen) die Tagung – oder vielmehr ein Workshop – „Neue Forschungen zu sächsischen Klöstern. Ergebnisse und Perspektiven“ statt. Organisiert wurde die Veranstaltung, die viele, sehr verschiedene Aspekte der Geschichte von Klöstern abdeckte, vom Institut für Sächsische Geschichte und Volkskunde e.V. (ISGV) Dresden, insbesondere von Enno Bünz (TU Dresden/Universität Leipzig) und einigen seiner Doktoranden, vor allem Sabine Zinsmeyer und Dirk Martin Mütze. Bünz, der durch seine Studien zu Klöstern bekannt ist, hat diese Tagung als Begleitung, [...]

Quelle: http://ordensgeschichte.hypotheses.org/3356

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Zur Feminisierung und Infanilisierung des Holocaust

uppsala
Bei der von Tanja Schult und Diana Popescu organisierten Konferenz “Holocaust Memory Revisited”, die letzte Woche im Hugo Valentin-Centrum in der Norlands Nation in Uppsala stattfand, kam es im Anschluss an die Keynote von Silke Wenk am Freitag 22. März 2013 zu einer regen Diskussion über die Thesen in Bezug auf die Feminisierung und Infantilisierung des Holocaust in den letzten Jahren. Wenk’s kritische Anmerkung, dass der Blick auf Kinder den Blick auf die Frauen zu schnell verdrängt habe, fand Beachtung und Zustimmung. Es ist ein Anliegen, dass indes noch intensiver besprochen werden sollte und Anlass zu einer kritischen Hinterfragung der Aufsplitterung in Opferkategorien gibt.

Interessanterweise unbeantwortet blieb meine Frage danach, ob die Fokussierung auf Frauen und Kinder unsere Unfähigkeit und Angst ausdrückt, den männlichen Tätern dieselbe Aufmerksamkeit zu widmen (im Sinne Harald Welzers „Täter: Wie aus ganz normalen Menschen Massenmörder werden“). Das Schweigen auf diese Frage gibt Anlass zum Nachdenken. Ist es so, dass wir selbst als HistorikerInnen diesen Blick auf die Täter nur mit Schweigen beantworten können?

 

Quelle: http://holocaustwebsites.hypotheses.org/112

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Ausstellung: Gelehrte Objekte? – Wege zum Wissen im Wiener Volkskundemuseum

Am 10. April 2013 eröffnet im Wiener Volkskundemuseum eine Ausstellung mit Objekten aus den Sammlungen der Historisch-Kulturwissenschaftlichen Fakultät der Universität Wien, sie ist bis 27. Oktober 2013 zu sehen. Vertreten ist auch die Sammlung Frauennachlässe des Instituts für Geschichte, und es gibt ein umfangreiches Begleitprogramm.

Universitäre Sammlungen geraten zunehmend in den Blick der Öffentlichkeit. Im Unterschied zu den in Museen eingelagerten Objekten handelt es sich dabei zumeist um Resultate aus Forschungsprozessen und Vermittlungsarbeit.
Diese Ausstellung versammelt erstmals eine Auswahl der Bestände der Historisch-Kulturwissenschaftlichen Fakultät der Universität Wien. „Popstars" der lebensgeschichtlichen Aufzeichnungen, 5000 Jahre alte Äxte, epische Haushaltsbücher, ägyptische Scheingefäße, griechische Spielfilme, papierene Abklatsche, Apollonköpfe, persönliche Nachlässe, sexistisches Stroh, professorale Klocks, kybernetische Dias, die „Welt Allg." und vieles mehr - sie alle bilden den Kosmos wissenschaftlichen Arbeitens.
Unterschiedlichste Beiträge aus den Fächern Ägyptologie, Alte Geschichte, Byzantinistik und Neogräzistik, Europäische Eth-nologie, Geschichte, Klassische Archäologie, Kunstgeschichte, Numismatik und Geldgeschichte, Ur- und Frühgeschichte, Wirtschafts- und Sozialgeschichte sowie Zeitgeschichte bieten faszinierende Einblicke.
Ein Projekt des Volkskundemuseums und der Historisch-Kulturwissenschaftlichen Fakultät der Universität Wien und drei Gesprächsstationen („Kabinett für Imaginationen") von Science Communications Research.

Quelle: http://adresscomptoir.twoday.net/stories/326526852/

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#gld13 | Reaktionen und Feedback zum Format “interaktive Netztagung”


Bild: L.I.S.A. | Das Wissenschaftsportal der Gerda-Henkel-Stiftung
 

Das Format von #gld13 | Geschichte Lernen digital als interaktive Netztagung – also eine wissenschaftliche Konferenz mit zwanzig Teilnehmern via Stream live ins Netz zu übertragen und die Reaktionen aus dem Netz via Twitter in Echtzeit einzubeziehen – war für alle Teilnehmer und Kooperationspartner ein Experiment. Auf der Seite von L.I.S.A. berichten die Veranstalter Marko Demantowsky und Christoph Pallaske von ihren Eindrücken. Übrigens: Einzelne Video-Mitschnitte der Vorträge werden ab dem 26. April 2013 wöchentlich auf L.I.S.A. veröffentlicht. Auch die Teilnehmer der Tagung wurden gebeten, zu einigen Punkten Ihr Feedback zu geben. Der folgende Überblick ist eine (anonymisierte) Auswahl verschiedener Kommentare zu vier Punkten:

1 | Konzept und Anspruch einer interaktiven Netztagung 
2 | Livestream und Video-Mitschnitt
3 | Twitterwall und Zuschauer-Beteiligung
4 | Diskussionen
 

1 | Konzept und Anspruch einer interaktiven Netztagung

  • Ist eingelöst worden. Mehr Zuschauer als meinerseits erwartet haben sich über Twitter und Forum auf LISA-Seite eingeschaltet mit Fragen und Kommentaren.
  • Der Anspruch, durch eine entsprechend strukturierte Moderation der Gesamttagung eine wirkliche online-Teilnahme zu ermöglichen, scheint nach den Reaktionen und vorläufigen Zugriffszahlen „von außen“ aufgegangen zu sein. Die Möglichkeiten, einen von der Fachzunft ja zumeist interne Diskussion durch die Öffnung nach außen zu Interessierten und ‚professionelle Laien‘ und Praktikern weniger hierarchisch zu führen, ist ebenfalls erkennbar gewesen. Das Internet hat demokratisierende Effekte.
  • Ich fand es toll, dass mit Livestream und Twitterwall die Möglichkeit genutzt wurde, sich an einer Tagung zu beteiligen, an der man als Lehrer irgendwo in der deutschsprachigen Pampa sonst hätte gar nicht teilnehmen können.
  • Überaus sinnvoll: Eindämmung des „Tagungstourismus“, gezielte & zeitsparende Teilnahme an einzelnen Vorträgen möglich, Veranstaltung vor Ort bleibt „schlank“.

2 | Livestream und Video-Mitschnitt

  • Videomitschnitte sind inzwischen schon Normalität geworden im wissenschaftlichen Tagungsalltag, und das zu Recht. Allein schon die Langzeitverfügbarkeit der Vorträge und der damit verbundene „long tail“ der Wahrnehmung rechtfertigt den Aufwand für Veranstalter und Redner.
  • Klappte toll, sicherlich an und zu sinnvoll, aber nicht immer, weil die starke Disziplinierung durch Zeit und Sicherung für die Ewigkeit doch einiges hemmte.
  • Ungewohnt, aber reizvoll. Wo der eine die unbekannte „Masse“ vor den Bildschirmen als bedrohlich empfindet, fand ich die Sache eher spannend.
  • Strikte Zeitdisziplin hatte wohltuende Auswirkungen auf den Ablauf, Kameras waren ungewohnt, aber nicht allzu irritierend (zumindest für Nicht-Referenten).
  • Als Referent fand ich das nicht beeinträchtigend. Die Kommentare der Teilnehmer außerhalb des Raums sprechen dafür. Es haben einige Interessierte, die nicht vor Ort waren, davon profitieren können.
  • Spannendes Experiment mit Interaktivität, aber nicht eingeschränkt immer zu wiederholen.

3 |  Twitterwall und Beteiligung der Zuschauer

  • Must-have bei jeder Konferenz. Wie schon gesagt wurde: Getwittert wird ohnehin, es gibt eben heutzutage zwei Ebenen bei Konferenzen. Offene Sichtbarkeit der Tweets für alle, auch den Redner, ist ein unbedingter Vorteil.
  • Halte ich nicht für erstrebenswert, weil es ablenkt und doch kaum auf die Tweets eingegangen wird; zudem sollte überprüft werden, ob wirkliche alle Tweets auf der Wall erscheinen; wenn es Auswahl ist, zählt Argumentation der Transparenz nicht.
  • Moderatoren und Referenten willens und in der Lage, online-Kommentare an passender Stelle aufzugreifen und zu beantworten.
  • Viele Fragen, die man nicht in 140 Zeichen packen kann – gerade zu diesem Thema. Ob Twitter für wissenschaftliche Kommentare und Fragen das richtige Format ist, bleibt fraglich.
  • Die Partizipation hat nicht zuletzt wegen kluger Moderation prima funktioniert und war sogar als Re-Entry äußerst lehrreich für die Akteure in der „ersten Reihe“ vor Ort. Von „Akteuren“ einerseits und „Zuschauern“ andererseits kann man dabei inzwischen ebensowenig mehr sprechen, wie von „Empfangsgeräten“. Ich denke da an die Radiotheorie von Brecht, der sich einen interaktiven Rundfunk gewünscht hatte. Jetzt haben wir ihn, und nicht nur als Rundfunk.

4 |  Diskussionen

  • Sind mir zu kurz gekommen. Die Bindung an das Mikrofon war hier sehr spontanitätshemmend. Kombination von live-gestreamten Vorträgen mit Fragerunde direkt zu den Vorträgen und Offline-Diskussionsrunde der Teilnehmer vor Ort wäre vielleicht eine Alternative.
  •  „Schere im Kopf“ bei manchen Teilnehmern?
  • Es wurde auch in formellem Design viel mehr diskutiert als auf klassischen Tagungen, und die Diskussionen hatten sofort Öffentlichkeit in die Fachcommunity hinein. Das hat Zukunft, denn: „It’s not the isolated brain, it‘s the community, stupid!“ (Stephen Downes).
  • Gehemmte Gruppendynamik im Tagungssaal wg. Warten aufs Mikro.
  • Gut gelaufen, lebendig, anregend.
  • Die Art der Diskussion mit dem Mikro reichen hat mich sehr gestört, unspontan, zu steif, zu wenig diskursiv; unbedingt mit Raum-Mikro arbeiten, wenn überhaupt; allerdings könnte ich mir auch Format mit Livestream ohne Aufnahme der Diskussion vorstellen, also manche Beiträge der Tagung öffnen, andere nicht.

Quelle: http://gelerndig.hypotheses.org/425

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Colloque Sacrée science : Amiens (6-7 juin)/ Aubechies (8 juin) 2013

Colloque SACREE SCIENCE reduit_1

 

Contact :

Tél. 0 (033) 3 60 01 53 50
S.geru@somme.fr

Présentation générale du sujet
Le colloque portera sur l’application des études environnementales
et de laboratoire aux sanctuaires celtiques et gallo-romains. Une
telle méthodologie est souvent essentielle pour argumenter des
interprétations liées aux pratiques et contextes cultuels. Elle
permet aussi d’en reconstituer le cadre environnemental proche
et plus lointain.
La thématique des recherches environnementales couplée aux
études menées sur les sanctuaires celto-romains est un domaine
particulièrement novateur et inédit. L’étude complexe des vestiges
cultuels antiques ne peut souvent être abordée sans avoir recours
à des méthodes d’investigations pluridisciplinaires : carpologie,
pédologie, palynologie, archéozoologie, analyses de laboratoires
diverses … De fait, les traces et témoignages ténus d’actes rituels
(offrandes alimentaires, rites de sacrifice, dépôts divers, ex-votos …)
révèlent fréquemment un univers religieux difficilement abordable
par l’acteur de terrain. De même, la conception et l’organisation
de ces établissements spécifiques démontrent le plus souvent une
adéquation complète avec l’environnement (relief, ressources
naturelles, bois sacrés …).
Ces dernières années, des efforts considérables ont été consentis
sur certains sites cultuels exceptionnels du territoire de la Gaule
et seront enfin présentés, en observant un protocole spécifique.
Le colloque permettra la comparaison de ces données à échelle
nationale et internationale. La valorisation de ces résultats par
l’édition des actes offrira une première synthèse thématique
complètement inédite. Partant des résultats acquis ces dernières
années, cette rencontre permettra d’évaluer les apports prioritaires
de ce type de méthode pour d’autres régions où ces études ne sont
pas ou très peu menées.

En pratique
Le colloque « Sacrée science ! Apports des études environnementales
à la connaissance des sanctuaires celtes et romains du nord-ouest.
Le colloque « Sacrée science ! Apports des études environnementales
à la connaissance des sanctuaires celtes et romains du nord-ouest
européen » est co-organisé par le Centre départemental de Ribemont-sur-
Ancre (Conseil général de la Somme) et l’Inrap, avec l’aide
du Service régional de l’Archéologie de Picardie, de l’Archéosite
d’Aubechies et du Cravo.

Il aura lieu à Amiens les 6 et 7 juin
2013 à la Direction Régionale des Affaires Culturelles (DRAC),
5 rue Henri Daussy (salle Robida) et sera suivi d’une excursion à
l’Archéosite d’Aubechies (Belgique) le 8 juin 2013.

 

 

Quelle: http://afeaf.hypotheses.org/380

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